VOI - Voice of Indonesia | Informing, Connecting, Dignifying

Le ministre coordinateur des Affaires maritimes et de l'Investissement, Luhut Binsar Pandjaitan, a déclaré que le gouvernement indonésien présenterait son programme de réhabilitation des mangroves aux dirigeants du G20. Le ministre Luhut Pandjaitan, dans son discours virtuel lors du lancement du programme de plantation de mangroves dans la régence de Probolinggo, dans l'est de Java, a déclaré jeudi que le programme de développement et de réhabilitation des mangroves est l'un des programmes phares du président Joko Widodo où il est ciblé que 600 000 hectares de terres de mangrove peuvent être réhabilité d'ici 2024. L'un des enjeux importants du G20 est le changement climatique. Et le gouvernement indonésien fera des mangroves une vitrine pour les dirigeants du G20. Il a demandé que le programme de réhabilitation des mangroves soit préparé de manière optimale pour démontrer l'engagement de l'Indonésie à protéger l'environnement et à lutter contre le changement climatique. Antara/VOI/Mai

Le ministre coordinateur des Affaires maritimes et de l'Investissement, Luhut Binsar Pandjaitan, a déclaré que le gouvernement indonésien présenterait son programme de réhabilitation des mangroves aux dirigeants du G20. Le ministre Luhut Pandjaitan, dans son discours virtuel lors du lancement du programme de plantation de mangroves dans la régence de Probolinggo, dans l'est de Java, a déclaré jeudi que le programme de développement et de réhabilitation des mangroves est l'un des programmes phares du président Joko Widodo où il est ciblé que 600 000 hectares de terres de mangrove peuvent être réhabilité d'ici 2024. L'un des enjeux importants du G20 est le changement climatique. Et le gouvernement indonésien fera des mangroves une vitrine pour les dirigeants du G20. Il a demandé que le programme de réhabilitation des mangroves soit préparé de manière optimale pour démontrer l'engagement de l'Indonésie à protéger l'environnement et à lutter contre le changement climatique. Antara/VOI/Mai

Plus de 4 000 agents de santé à Bruxelles, en Belgique, mardi (7/12), heure locale, ont organisé une manifestation contre la décision du gouvernement fédéral selon laquelle tout le personnel médical doit se faire vacciner. Les agents de santé qui refusent de se faire injecter des vaccins seront passibles d'amendes et éventuellement suspendus. Ils ont dénoncé la vaccination obligatoire comme une "discrimination" et une mesure "improductive". Employé d'un hôpital de la province de Liège, Raphael Meys a déclaré que tout le monde a le droit de vote, mais les menaces de licenciement impliquant le personnel sont inacceptables. Comme l'a rapporté Xinhua mercredi 19 novembre, le gouvernement fédéral a adopté une loi sur la vaccination obligatoire des agents de santé. A compter du 1er janvier 2022, le personnel soignant disposera de trois mois pour se faire injecter le vaccin. À compter du 1er avril, si la décision n'est pas appliquée, le visa ou le numéro d'enregistrement du personnel sera révoqué et pourra donc être licencié. XINHUA/ANTARA/VOI/Mai

Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, s'auto-isole après être entré en contact avec une personne testée positive pour COVID-19, a déclaré son porte-parole, Farhan Haq, aux journalistes couvrant les activités aux Nations Unies, mardi, heure locale. Le Secrétaire général devait auparavant assister à l'événement du Fonds central d'intervention d'urgence des Nations Unies mercredi et jeudi (9/12) prend le parole  lors du débat public du Conseil de sécurité sur la sécurité dans le contexte du terrorisme et du changement climatique. Le Secrétaire général a également été invité en tant qu'invité d'honneur au gala annuel de l'Association des correspondants des Nations Unies à Manhattan mercredi soir, mais tout cela a été annulé. XINHUA/ANTARA/VOI/Mai