La Jordanie a entièrement rouvert son principal poste frontalier avec la Syrie. Cette politique a été prise dans le but d'améliorer l'économie après que les pays arabes aient demandé la réintégration des deux pays. La Jordanie était restée à l'écart de son pays voisin, ravagé par la guerre civile depuis dix ans. La Syrie accuse les sanctions occidentales des difficultés économiques auxquelles elles sont confrontées. Ce pays du Moyen-Orient espère que la réouverture des routes commerciales avec son voisin du sud pourra l'aider à se remettre de la guerre et à attirer plus de devises étrangères.
Le but de cet accord est d'encourager les échanges commerciaux entre les deux pays pour atteindre les intérêts de toutes les parties. C'est ce qu'a déclaré le ministre jordanien de l'Industrie et du Commerce, Maha Al Ali, sur la chaîne de télévision Al Mamlaka, mercredi (29/9). Le gouvernement jordanien, proche des États-Unis et du Liban, a exhorté Washington à assouplir les sanctions contre la Syrie. Un assouplissement des sanctions est nécessaire pour que le commerce ait lieu. REPUBLIKA/VOI/Mai
L'Indonésie demande que le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) continue d'être appliqué lors que le monde espère être libéré de la menace des armes nucléaires. La ministre indonésienne des Affaires étrangères, Retno Marsudi, l'a exprimé lors de la réunion plénière de haut niveau à l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination totale des armes nucléaires, qui se tient chaque année conformément au mandat de l'Assemblée générale des Nations Unies.
Retno, lors de son communiqué de presse virtuel mercredi, a déclaré que la course aux armes nucléaires et à la démonstration de force devait être arrêtée afin de ne pas nuire à l'intégrité et à la crédibilité du traité de non-prolifération. Selon elle, jusqu'à présent, il existe encore 13.000 armes nucléaires qui menacent la paix et la sécurité mondiales. Selon elle, la possibilité que ces armes tombent entre les mains d'acteurs non étatiques, devrait être une base ou une raison solide pour que tous les pays accélèrent le désarmement nucléaire. La ministre Retno a déclaré que le monde ne se sentirait jamais en sécurité tant que toutes ces armes ne seront pas supprimées . ANTARA/VOI/Mai
L'Indonésie demande que le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) continue d'être appliqué lors que le monde espère être libéré de la menace des armes nucléaires. La ministre indonésienne des Affaires étrangères, Retno Marsudi, l'a exprimé lors de la réunion plénière de haut niveau à l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination totale des armes nucléaires, qui se tient chaque année conformément au mandat de l'Assemblée générale des Nations Unies.
Retno, lors de son communiqué de presse virtuel mercredi, a déclaré que la course aux armes nucléaires et à la démonstration de force devait être arrêtée afin de ne pas nuire à l'intégrité et à la crédibilité du traité de non-prolifération. Selon elle, jusqu'à présent, il existe encore 13.000 armes nucléaires qui menacent la paix et la sécurité mondiales. Selon elle, la possibilité que ces armes tombent entre les mains d'acteurs non étatiques, devrait être une base ou une raison solide pour que tous les pays accélèrent le désarmement nucléaire. La ministre Retno a déclaré que le monde ne se sentirait jamais en sécurité tant que toutes ces armes ne seront pas supprimées . ANTARA/VOI/Mai
Le régulateur indien des médicaments a autorisé la société Serum Institute à mener des essais du vaccin Novavax COVID-19 fabriqué aux États-Unis sur des enfants âgés de 7 à 11 ans, selon le panel d'experts sur le sujet de recherche de l’Organisation centrale de surveillance des normes pharmaceutiques mardi. Serum Institute a mené des essais du vaccin Covovax COVID-19, qui est une version injectable de Novavax produite dans le pays, contre le groupe d'âge de 12 à 17 ans. L'essai a montré des données sur l'innocuité des vaccins pour les 100 premiers participants. Le vaccin Novavax n'a pas encore reçu l'approbation des autorités sanitaires indiennes. Plus tôt ce mois-ci, le directeur du Serum Institute, Adar Poonawalla, a déclaré qu'il s'attend à ce que Covovax soit approuvé pour les moins de 18 ans en janvier ou février de l'année prochaine. Jusqu'à présent, seuls les vaccins utilisant la technologie de l'ADN fabriqués par la société Zydus Cadila ont reçu une autorisation d'utilisation d'urgence en Inde pour être utlisé chez les adultes et les enfants de 12 ans et plus. REURTERS/ANTARA/VOI