Thursday, 26 September 2019 16:47

Le CEPA UE-Indonésie est une forme d'engagement de l'Indonésie à créer une économie plus ouverte et compétitive

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L'accord de partenariat économique global conclu entre le gouvernement indonésien et l'Union européenne en avril 2016 a marqué le début d'une nouvelle ère de coopération entre l'Indonésie et l'Union européenne. Ce document sur l'étendue de la coopération est destiné à servir de base au lancement des négociations de CEPA.

Du point de vue de l'Indonésie, l'accord de partenariat économique global entre l'Indonésie et l'Union européenne (IEU-CEPA) est une forme de l'engagement de l'Indonésie de faire de l'Indonésie une économie plus ouverte et compétitive.

Comme l'a déclaré Bambang Priambodo, adjoint aux affaires économiques au ministère de la Planification et du Développement national, lors du premier séminaire national de diffusion du programme d'aide dans le domaine du commerce ARISE + Indonésie à Jakarta, mercredi (09/25). Bambang Priambodo a également déclaré que l'Indonésie et l'Union européenne étaient en train de négocier un accord de partenariat économique global (CEPA) afin de faciliter et de créer un nouvel accès au marché.

Bambang Priambodo a dit :

"L'Indonésie et l'Union européenne sont en train de négocier un accord de partenariat économique global (CEPA) ayant pour objectif principal de faciliter et de créer un nouvel accès aux marchés, d'accroître les échanges commerciaux entre l'Union européenne et l'Indonésie et d'accroître les investissements directs."

Bambang Priambodo a ajouté que l'Indonésie est membre du G20 et que son économie est considérée comme la 16ème rang du monde. Selon lui, avec une croissance du PIB de 5,6% au cours des neuf dernières années et une population de près de 270 millions d'habitants, l'Indonésie doit se développer de manière durable.

Bambang a déclaré que l'Indonésie avait encore besoin d'investir 1 000 milliards de dollars dans les infrastructures au cours des cinq prochaines années de la part du secteur privé, en particulier des investisseurs étrangers, car le gouvernement ne pouvait couvrir et fournir moins de 40% de ce montant. (VOI / AHM/hudri)

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