Certains dirigeants et législateurs des États-Unis et du Canada n'ont pas le droit d'entrer en Chine, à Hong Kong et à Macao. L'interdiction prononcée par le ministère chinois des Affaires étrangères (MAE) samedi soir (27/3) était une représaille aux sanctions américaines et canadiennes contre la Chine liées à la question du Xinjiang. Dans un communiqué de presse, le MAE a mentionné plusieurs personnes qui faisaient l'objet de ces sanctions, à savoir la présidente de la Commission des États-Unis pour la liberté religieuse internationale (USCIRF) Gayle Manchin, la vice-présidente de l'USCIRF Tony Perkins et le membre du Parlement canadien Michael Chong.
Il est interdit à ces personnes d'entrer en Chine, à Hong Kong et à Macao. Il est également interdit aux citoyens et aux institutions chinoises d’entretenir des relations d’affaires avec ces personnes et à des échanges avec ces organisations. Le MAE a déclaré que son gouvernement maintenait strictement la souveraineté nationale, la sécurité et le développement. //(Antara.Voi.Dry)