Le vice-président indonésien Jusuf Kalla est parti pour l'Europe mardi matin pour assister à deux réunions mondiales sur l'atténuation des effets des catastrophes et la gestion du terrorisme en Suisse et à Paris. Selon le projet, Jusuf Kalla va assister la Plateforme mondiale pour la réduction des risques de catastrophe (GPF) 2019 à Genève, en Suisse, mercredi (15/5), avec 192 chefs d'État et de représentants des pays membres des Nations Unies. Kalla, a déclaré lundi au bureau du vice-président indonésien à Jakarta que l'Indonésie, avec ses conditions géographiques caractérisées par le risque de séismes et d'éruptions volcaniques, était potentiellement expérimentée dans l'atténuation des effets des catastrophes. Après avoir assisté au GPF 2019, le vice-président devait assister à un événement dirigé par la première ministre néo-zélandaise, Jacinda Ardern, "L'appel à l'action de Christchurch" à Paris. "L'appel à l'action de Christchurch" était une réunion des chefs d'État visant à appeler à un arrêt du contenu radical et à contenir des éléments de terrorisme dans le cyberespace. Antara/VOI/Mai
Le Ministère indonésien des affaires maritimes et de la pêche continue d’accroître les exportations de produits de la mer et de la pêche. L'une des mesures prises est à inclure des hommes d'affaires à l’exposition mondiale des fruits de mer à Bruxelles, en Belgique. 12 exportateurs et une association des hommes d'affaires indonésiens ont rejoint dans le pavillon indonésien. Ce pavillon comprend des produits de thon congelés, des crevettes, des calmars, des seiches, des poulpes, des vivaneaux, des mérous et des produits à base de poisson, ainsi que des crabes en conserve et du caviar vert, notamment des produits à base d'algues de type Caulerpa. Berny A. Subki, secrétaire de la Direction générale du renforcement de la compétitivité des produits maritimes et de la pêche du ministère des Affaires maritimes et de la Pêche, a déclaré samedi à Jakarta (11/5) que l’exposition mondiale des fruits de mer était la plus grande exposition de produits de mer en Europe. L'exposition, qui s'est déroulée du 7 au 9 mai, a réuni 2.007 participants de 88 pays et des fournisseurs de produits de la pêche de l'Union européenne et du monde. Selon lui, c’est un moment exact de continuer à introduire les produits de la mer et de la pêche indonésiens au monde. Kom/VOI/Mai
Sonny Keraf, membre du Conseil de l'énergie national, a estimé que le plan du gouvernement visant à stopper les importations de carburant diesel était un bon moment pour optimiser l'utilisation des énergies renouvelables. Cela permettrait d'économiser le budget de l'État jusqu'à des trillions rupiahs pour les combustibles fossiles. Sonny Keraf à Jakarta dimanche (12/5) a déclaré que le développement d'énergies renouvelables, comme centrales hydroélectriques, permettrait de réduire la consommation d’énergie fossile gaspilleuse et polluante. Comme cité par Antara, la politique d'arrêter les importations de diesel a été déclaré par le ministre de la coordination des affaires économiques, Darmin Nasution récemment. La cessation des importations de diesel et de carburant d'aviation est due à la volonté du gouvernement d'optimiser la production nationale tout en équilibrant le déficit de la balance courante. L’étape concrète du suivi du plan visant à mettre fin aux importations de diesel est de construire immédiatement une raffinerie de pétrole brut sur le marché intérieur. Antara/VOI/Mai
Le gouvernement commencera à supprimer les importations de pétrole et de gaz en utilisant le pétrole et le gaz transformés nationaux pour améliorer les performances du compte courant. Le ministre de la coordination des affaires économiques, Darmin Nasution, a annoncé recemment à Jakarta que le mois prochain, l'Indonésie cessera d'importer du carburant d'aviation et du carburant diesel.
L'Indonésie veut utiliser des produits indonésiens et transformés dans ce pays.Selon lui, les importations de pétrole et de gaz étaient l'une des causes du déficit élevé du compte courant au premier trimestre de 2019 qui a atteint 2,6 % du produit intérieur brut. Par conséquent, l’utilisation de la production nationale de pétrole et de gaz réduira les exportations et les importations de pétrole et de gaz dans un proche avenir. Antara/VOI/Ik