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Pour commémorer le 25e anniversaire des relations diplomatiques, l'Indonésie et la Biélorussie ont

d'Indonésie a Moscou, a déclaré récemment samedi à Antara Londres que la délégation indonésienne était dirigée par le directeur général américain et européen, du ministère indonésien des affaires étrangères, l'ambassadeur pris des mesures concrètes pour renforcer la coopération bilatérale dans tous les domaines, suite à la réunion des délégations des deux pays au deuxième Forum Consultatif Bilatéral Indonésie-Biélorussie à Minsk, en Biélorussie, le 24 mai.

Enjay Diana, le premier secrétaire aux affaires sociales, culturelles et de l'information de l'ambassade de la République Muhammad Anshor.

L'ambassadeur Muhammad Anshor a expliqué que les deux pays utilisaient l'élan de 25 ans des relations diplomatiques pour discuter de l'état du développement de la coopération bilatérale. Les deux pays ont réaffirmé la nécessité d'accroître la valeur du commerce bilatéral équilibré par une interaction accrue des partenaires commerciaux, l'expansion du commerce aux accords de libre-échange avec l'Union économique eurasienne et l'utilisation du mécanisme de commission conjointe l’Indonesie et la Biélorussie. Antara/VOI/Ik

Le gouvernement indonésien a demandé à l'UE de ne pas discriminer l'huile de palme contre d'autres produits d'huile végétale tels que l'huile de tournesol et l'huile de soja. C'est ce qu'a été déclaré l’adjoint I du secteur de la coordination de la souveraineté maritime du Ministère des affaires maritimes, Purbaya Yudhi Sadewa dans un débat sur le plan d'interdiction de l'utilisation de biocarburants fabriqués à partir d'huile de palme par l'Union européenne, à Jakarta vendredi.

Purbaya Yudhi Sadewa a déclaré que son but est de ne pas forcer l'UE à utiliser l'huile de palme, mais il voulait la justice pour le «traitement» etant donné entre l'huile de palme et les autres huiles végétales. Auparavant, l'Indonésie a exprimé son inquiétude au plan de l'UE d'interdire l'entrée des produits d'huile de palme provenant des pays producteurs dans cette région, où l'Indonésie est le premier plus grand producteur d'huile de palme dans le mondial.

Pour l'Indonésie, l'huile de palme est devenue une question nationale parce que c'est l'un des principaux produits qui a des normes durable et fortement associée à la vie de millions d'agriculteurs locaux, dont le principal moyen de subsistance est le commerce de l'huile de palme. Antara/VOI/Ik

Le chef de l'Agence nationale de lutte contre le terrorisme (BNPT), le commissaire général Suhardi Aliusa dit quela loi sur la lutte contre le terrorisme en Indonésie etait la plus complète au monde. C'est parce que, la Loi numéro 15 de 2003 sur les actes criminels de terrorisme, qui a été adopté sa révision,  comprend trois aspects, à savoir, la prévention, l'application de la loi, et la protection des victimes et de l'indemnisation.

Suhardi Alius, a déclaré recemment à Medan, au nord de Sumatra qu’avec cette loi,  BNPT pouvait toucher à la protection des victimes. Suhardi Alius espère que toutes les parties, y compris les anciens prisonniers terroristes participeront à la prévention et à la lutte contre le terrorisme. Rol/VOI/Ik

Le ministère indonésien des affaires étrangères a appelé les citoyens indonésiens à ne pas entrer au Yémen à la suite de la situation politique et sécuritaire dans ce pays. Pour ceux qui sont déjà là, quittez immédiatement le Yémen. Cela a été dit par le Directeur de la protection des citoyens indonésiens et l’entité juridique indonésienne, du Ministère des affaires étrangèresLalu Muhammad Iqbalà Jakarta, recemment. 

Le gouvernement du Sultanat d'Oman a soumis une circulaire officielle le 6 mai concernant l'interdiction pour tous les étrangers de franchir la frontière entre le Yémen et l'Oman, en raison de la situation politique et sécuritaire au Yémen. D'après la surveillance du gouvernement d'Oman, on craint que la frontière entre le Yaman et l’Oman, d'une longueur de 288 kilomètres, puisse être utilisé comme une porte de trafic pour les personnes entrant au Yémen pour soutenir les groupes Houthi et Al-Qaïda dans la péninsule arabique.

La frontière est également crainte comme lieu du trafic de la contrebande d'armes Actuellement, à partir de deux frontières terrestres du Yémen avec les pays voisins, l'Arabie Saoudite et l’Oman, seules les frontières avec Oman qui peuvent encore être franchies. Antara/VOI/Ik