VOI - Voice of Indonesia | Informing, Connecting, Dignifying

La société  minière publique PT Timah essaie d'étendre les activités de traitement de l'étain au Nigeria. L'expansion des entreprises est faite après qu’on a vu les caractères géographiques au Nigeria qui sont similaires à l'île de Bangka, ainsi qu'il y a la volonté des parties liées. En plus de traiter l'étain extrait au Nigeria, PT Timah traitera également l'étain extrait de plusieurs pays autour du Nigeria. Cela a été dit par l'ambassadeur indonésien au Nigeria, qui a simultanément tenu plusieurs pays africains, comme le Bénin, le Togo, le Burkina Faso, le Ghana, la République du Congo, Harry Purwanto, à l'équipe des médias à Jakarta, recemment.

Harry Purwanto  :

« PT Timah a vu une grande volonté. Les caractères de ce pays sont similaires à ceux de Bangka. Et ils sont très intéressés. Ils produiront non seulement des fonderies ou des usines de transformation du Nigeria, mais aussi de certains pays voisins. Plus tard il y aura d'autres dérivés de l'étain ».

Harry Purwanto a ajouté qu'il y avait un potentiel pour l'extraction minière solide, y compris l'or, qui est assez grande au Nigeria pour être explorée. Pour cela, il s'attend à l'expansion des affaires d'autres entreprises d'État (BUMN) engagés dans l'exploitation minière au Nigeria comme ce qui a été fait par PT Timah. En lien avec l'expansion de PT Timah, Harry Purwanto a également expliqué que PT Timah a signé un protocole d'accord avec le gouvernement du Nigeria dont une concession de 30 ans dans trois états. VOI/Rezha/Tiwi

L'art de la construction navale "Pinisi" à Sulawesi Sud est désigné comme l'un des patrimoines culturels immatériels mondiaux le 7 décembre 2017 en Corée du Sud. La nomination a été effectuée par l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), l'organisme des Nations Unies chargé de la coopération dans les domaines de l'éducation, de la science et de la culture. Le certificat d’UNESCO a été reçu par la ministre indonésienne des Affaires étrangères, Retno Marsudi, de l'ambassadeur d'Indonésie en France étant également la délégation permanente de l'Indonésie auprès de l'UNESCO, Hotmangaradja Pandjaitan, au ministère des Affaires étrangères, Jakarta, mardi 13 février.

Dans un communiqué de presse reçu par la Voix de l’Indonésie, Retno Marsudi a déclaré que l'établissement du bateau "Pinisi" en tant qu'héritage culturel immatériel mondial etait une grande fierté pour l'Indonésie. Elle a rappelé que cette détermination n'etait pas l'objectif ultime, mais seulement un moyen de soutenir la préservation de la culture nationale. Selon elle, chaque décision de l'UNESCO doit être suivie d'une bonne politique de préservation, y compris l'éducation de la communauté. Dans ce cas, la ministère des Affaires étrangères continuera à travailler avec les parties prenantes pour préserver la culture et la richesse naturelle nationale.  Press Release/Rezha/Erna

Le Maroc a exprimé son désir de renforcer la coopération avec l'Indonésie dans divers domaines, notamment économique, politique et social. En outre, le Maroc a également exprimé son désir de devenir un pays partenaire du dialogue sectoriel de l'ASEAN de la région africaine. C'est ce qu'a déclaré le vice-ministre marocain des Affaires étrangères, Mounia Boucetta, à l'équipe de presse après avoir tenu une réunion bilatérale avec le vice-ministre des Affaires étrangères de la République d'Indonésie, A.M. Fachir, à Jakarta, mardi 13 février.

 Mounia Boucetta :

“Nous avons une discussion très fructueuse avec Son Excellence A.M. Fachir, c'était l'occasion de confirmer les bonnes relations que nous avons entre l'Indonésie et le Maroc, et notre volonté est de renforcer cette coopération pour couvrir de nombreux domaines, même économiques, politiques et sociaux. C'était aussi l'occasion pour nous, notre visite aujourd'hui, de soumettre notre candidature en tant que partenaire de dialogue sectoriel dans les pays de l'ASEAN. Le Maroc accorde une grande importance à la collaboration avec les pays d'Asie du Sud-Est. Nous voulons créer une réelle valeur ajoutée avec un impact sur la population de ces pays”.

Selon Mounia Boucetta, le Maroc est très intéressé à devenir le partenaire stratégique de l'ASEAN. Bien que l'Indonésie et le Maroc aient jusqu'ici eu de bonnes relations bilatérales, il serait très bon que les deux pays soient également intégrés dans des communautés régionales importantes comme l’ASEAN. Jusqu'à présent, le Maroc est devenu un partenaire ou une représentation dans cinq pays de l'ASEAN, notamment l'Indonésie, la Malaisie, les Philippines, la Thaïlande et le Vietnam. VOI/Rezha/Erna

Le rapatriement des réfugiés ethniques Rohingyas du Bangladesh au Myanmar sera bientôt imminent. À cette fin, l'Indonésie a proposé d'aider au processus de rapatriement. Surtout maintenant le Myanmar a été disposé à accepter l'Indonésie après avoir été précédemment rejeté en raison de l'Indonésie a approuvé la résolution publiée par les Nations Unies. Comme affirmait l'ambassadeur indonésien au Myanmar, Ito Sumardi, à l'équipe de presse le mardi 13 février à Jakarta.

Ito Sumardi :

“Premièrement, bien sûr, l’Indonésie espère que ce rapatriement pourra se dérouler en douceur, en toute sécurité et de façon pacifique dans le cadre de leur processus de réconciliation. Deuxièmement, l'Indonésie offre certainement sa contribution à ce rapatriement dans lequel elle est disposée à accepter. Au début, ils étaient contre, peut-être déçu quand tout à coup l'Indonésie, qui avait soutenu, a brusquement approuvé la résolution. Mais on donne une raison pour laquelle nous approuvons la résolution en tant qu'ami pour faire un équilibre”.

Lié au processus de rapatriement qui sera mis en œuvre dans un proche avenir, il y a la possibilité que la ministre indonésienne des Affaires étrangères, Retno Marsudi, ou le ministre coordinateur des Affaires politiques, sécurité et juridique, Wiranto, fait une réunion avec le chef du Myanmar, Aung San Suu Kyi. En ce qui concerne des sanctions imposées par l'ONU, l'Indonésie demande également que les sanctions imposées au Myanmar soient aussi objectives que possible sur la base des faits existants. VOI/Rezha/Erna