Les gouvernements de l'Indonésie et du Royaume-Uni collaborent à l'organisation de séminaires d'éducation sanitaire les 23 et 24 mars à Jakarta. Le thème est "promouvoir la pratique de la coopération de l'interprofession et d'éducation pour la santé en Indonésie". Le directeur général de la coopération technologique et de l'enseignement supérieur, Kemristekdikti, Ali Ghufron, a déclaré que c'était la première fois que l'Indonésie et le Royaume-Uni organisaient un atelier dans le domaine de l'éducation pour la santé.
Lors d'une conférence de presse tenue vendredi le 23 février, il a expliqué qu’à travers cet atelier, l'éducation à la santé en Indonésie à l'avenir n'etait plus segmentée et il existe des collaborations de diverses professions de la santé. Ce séminaire traitera de la coopération interprofessionnelle des agents de santé à appliquer dans 5 universités qui seront le projet pilote.
Ali Ghufron :
‘’Nous partageons d'abord avec des experts du Royaume-Uni où nous et le Royaume-Uni, pouvons partager beaucoup de choses. Entre autres au Royaume-Uni, il y a NHS, National Health Service et nous, il y a JKN (l’ Assurance de maladie nationale). Eh bien, où au Royaume-Uni il y a le système de référence. Nous avons également un système de référence. Nous voulons que ce partage puisse déboucher sur une approche non seulement de l'éducation internationale, mais aussi de l'efficacité des soins de santé’’.
Le Ministère de la recherche de technologie et de l'enseignement supérieur et le Ministère de la santé ont décidé, par l'intermédiaire du Comité mixte, de sélectionner cinq universités, a savoir l'Université d'Indonésie, l'Université Gajah Mada, l'Université Airlangga, l'Université Padjadjaran et l'Université Hasanudin.
En 2018, il y aura un indicateur de réussite et d'évaluation du fonctionnement de l'éducation interprofessionnelle. Le chef du département du développement et de l'autonomisation des ressources humaines du Département de la santé du Ministère de la santé, M. Usman Sumantri, a déclaré que le Ministère de la santé se félicitait de cette coopération. Selon lui, les problèmes de santé ne peuvent être résolus par une profession. Pour cela, il soutient fortement cette coopération. VOI/Sekar/Mai
Le Forum indonésien de la Tempe (FTI) a des preuves que la tempe était un patrimoine culturel immatériel de l'humanité qui sera utilisé comme un document à soumettre à l'UNESCO. Le Président de FTI, Prof. Made Astawan en marge de l'Atelier international sur la Tempe tenue à la Faculté de technologie agricole de l’Université catholique de Widya Mandala (UKWMS) à Surabaya, a affirmé mardi que l'une des preuves documentaires forte est l'apparition des mots tempe en fibres de Centhini qui indique que la tempe est connue depuis 16ème siècle.
En plus des preuves documentaires, une autre condition nécessitée pour progresser vers l'UNESCO est la reconnaissance du gouvernement de l'Indonésie que le tempe est un patrimoine culturel national. Cette reconnaissance a été donnée en octobre 2017.
Cet atelier, at-il ajouté, était une forme de célébration de la reconnaissance du gouvernement de l'Indonésie. Il a affirmé, les avantages de la reconnaissance de la tempe par l'UNESCO sont attendus comme dans le batik. Après que le batik a été fixé par l'UNESCO en tant que patrimoine culturel de 2009, tout le monde porte batik, à la fois vieux et jeune. Antara/VOI/Mai.
Tant de deforestations dans les forets qui se sont répandues dans diverses régions d'Indonésie a poussé le ministère de l'Environnement et des Forêts à travailler dur pour lutter contre le crime. Selon la ministre indonésienne de l'Environnement et des Forêts, Siti Nurbaya Bakar, dans une interview spéciale avec la Voix de l’Indonesia à Jakarta mardi (20/3)a affirmé, son équipe a traité à plusieurs reprises les bûcherons illégaux et les a traînés devant les tribunaux pour leur violation.
La ministre Siti Nurbaya Bakar,
Nous travaillons également très dur pour resoudre cette deforestation, il y a plus les trois ans, nous avons eu plus de 144 fois l'opération pour lutter contre ces bûcherons illégaux. Et il y a eu des cas préparés pour les amener à la cour, plus d'environ 174 documentés et préparés à la cour et environ plus de 60 cas sont en cours de préparation.
La ministre Siti Nurbaya Bakar a ajouté qu'en plus des cas des déforestations, le rétrécissement des zones forestières en Indonésie est également dû à plusieurs autres facteurs, tels que l'augmentation massive de la population dans diverses régions. Par conséquent, elle continuera à faire divers efforts, y compris le développement d'institutions spéciales liées aux écosystèmes forestiers comme l'Unité de gestion forestière. Sur la base des données du Ministère de l'environnement et des forêts, au moins 1,1 million d'hectares, soit 2% des forêts indonésiennes, se rétrécissent chaque année. Les données mentionnent également que sur les 130 millions d'hectares restants des forêts indonésiennes, 42 millions d'hectares ont été défrichés ou endommagés. La destruction des forêts qui est de plus en plus grave, perturbe les écosystèmes forestiers et les environnements environnants. VOI/Rezha/Mai
Le Ministre de l'Industrie Airlangga Hartanto mentionne la part croissante du marché des industries alimentaires et des boissons a atteint 9,23 pour cent en 2017, soit une augmentation de 0,77 pour cent par rapport à 2016. L'industrie est en fait le plus grand contributeur au produit intérieur brut (PIB) dans l'industrie non pétrolière, a savoir 34,33 pour cent en 2017, ce qui en fait un grand rôle dans la croissance économique de l'Indonésie. C’est ce qu’a affirmé Airlangga Hartanto dans un séminaire sur la Stratégie et l’innovation du secteur alimentaire : Repondre au Défi de l'ère industrielle 4.0 a Jakarta, mercredi. Cette réalisation rend le secteur alimentaire et des boissons comme l'un des cinq secteurs prioritaires pour accélérer la mise en œuvre del’industrie de 4.0 et aussi une industrie pilier. Par conséquent, on necessite une norme internationalequi n'est harmonisée qu'au sein de Food & Innovation Center. Avec les normes internationales en ce qui concernela sécurité alimentaire, les normes plus saines qui ont été harmonisées, ces produits peuvent être échangés dans la région d’ASEAN même l’Australie.Antara/VOI/Mai