Les géologues et les experts des volcans à l'échelle mondiale ont participé au séminaire sur la caldera et la super-éruption à Tuktuk, Samosir, région du lac Toba, au nord de Sumatra, samedi. Selon le communiqué de presse du ministère de l'Énergie et des ressources minérales, à Jakarta, a déclaré samedi que le séminaire était l'un des principaux événements de la série du 7ème Atelier international sur l'effondrement de la caldeira.
L'atelier est organisé conjointement par l'Agence géologique du Ministère de l'Energie et des Ressources minérales et l’Association Internationale de Volcanologie et de Chimie de l'Intérieur de la Terre, participé par environ 69 experts et chercheurs dans le domaine de la géologie et des volcans à l'intérieur et à l'extérieur du pays.
L'atelier comprenait des séminaires, des discussions de groupe et des visites sur le terrain, depuis le samedi au jeudi (27/9). Le thème du séminaire est : Evaluation des impacts potentiels des super éruptions sur les communautés et l'environnement. Le séminaire discutera l'impact potentiel dans le domaine social et écologique de l'éruption, comme la caldeira de La Garita à Colorado, les États-Unis, Toba dans le nord de Sumatra, Taupo en Nouvelle-Zélande, et Aira à Kyushu, au Japon. Antara/VOI/Ik
Le vice-président indonésien, Jusuf Kalla, a dirigé la délégation indonésienne à la 73ème Assemblée générale des Nations Unies au siège des Nations Unies à New York. Antara a rapporté que le vice-président est arrivé à New York dimanche (23/9) à midi heure locale. Selon le porte-parole du vice-président indonésien, Husain Abdullah, samedi soir (22/9), heure locale, à New York, le vice-président a commencé l’agenda en assistant au sommet pacifique de Nelson Mandela lundi heure local, comme suivi de décision dans la résolution 72/243 de l'Assemblée générale des Nations Unies adoptée le 22 décembre 2017. La résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies, est indiqué entre autres que les États membres des Nations Unies avaient tenu une réunion plénière de haut niveau sur la paix mondiale pour respecter la commémoration de centenaire de la naissance de Nelson Mandela. La réunion assistée par les chefs d'État aurait lieu du matin au soir. En outre, le vice-président doit faire connaître son point de vue lors du débat général de la 73e assemblée générale des Nations Unies, jeudi (27/9) heure locale. Antara/VOI/Mai
La ministre des affaires maritimes et de la pêche de la République d'Indonésie, Susi Pudjiastuti, a souligné que son parti continuerait à noyer les navires étrangers qui ont volé du poisson dans les eaux indonésiennes, bien que cette politique soulève des avantages et des inconvénients à la fois à l'intérieur et à l'extérieur du pays.
Dans un communiqué de presse à Jakarta, vendredi, Susi a révélé la raison de naufrage du navire. Selon elle, ce n'est pas un homme stupide qui a laissé les 7000 bateaux voleurs de poissons circuler librement sur le territoire souverain indonésien pendant des années.
Susi se demandait pourquoi il y avait encore des gens qui s'interrogent surla sanction du naufrage du navire. En fait, cette disposition est clairement énoncée dans la loi comme une sanction pour les bateaux de vol de poissons, précisément dans la loi n ° 45 de 2009 relative à la pêche. Elle a affirmé que tant que la base juridique existe toujours et est valable, le ministère indonésien des affaires maritimes et de la pêche continuera à couler le navire de pêche.
La ministre Susi a également demandé que cette question ne soit pas toujours discutable,car rien ne changera, saufla base juridique ou la loichange. De novembre 2014 à août 2018, le ministère indonésien de la pêche et des affaires maritimes a noyé 488 navires de pêche illégaux, tant nationaux qu'étrangers.
Les détails sont 276 navires vietnamiens, 90 navires philippins, 50 navires thaïlandais, 41 navires malaisiens, 26 navires indonésiens, 2 navires de Papouasie-Nouvelle-Guinée et 1 navire de Chine, du Belize et ceux sans État ou sans drapeau. VOI/Rezha/Ik
Le ministère indonésien de l'Education et de la Culture en collaboration avec le Secrétariat de l'Organisation de l'éducation de l'Asie du Sud-Est -SEAMEO ont organisé le séminaire international à Kuta, Bali, mercredi (19/9). Le Ministre indonésien de l'Education et de la Culture en tant que président du Conseil SEAMEO, Muhadjir Effendy, a expliqué, dans ce séminaire d'une journée, les participants discutent du programme d'éducation SEAMEO ou sept domaines prioritaires pour 2015-2035.
Cité par l'agence de nouvelles de la radio nationale, les sept domaines prioritaires sont la promotion de l'éducation universelle pour la petite enfance, de surmonter les obstacles à l'inclusion, la promotion de la résilience face aux situations d'urgence, la promotion de l'éducation de formation technique et professionnelle, la revitalisation de la formation des enseignants, l'harmonisation de l'enseignement supérieur et de la recherche, ainsi que l'adoption du Programme du 21ème siècle.
Le ministre Muhadjir a souligné que l'objectif de la discussion des sept priorités est d'échanger des informations sur l'éducation dans chaque pays, puis de partager leurs expériences pour faire face au problème envisagé. SEAMEO est une organisation intergouvernementale internationale et régionale dont les membres sont le Brunei Darussalam, le Cambodge, l’Indonésie, la République démocratique populaire du lao, la Malaisie, le Myanmar, les Philippines, Singapour, la Thaïlande, Timor-Leste et le Vietnam. KBRN/VOI/Mai