09
November

 

Du 31 octobre au 3 novembre, des représentants permanents de huit pays membres de l'Agence des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) ont rendu visite à plusieurs régions d'Indonésie afin d'étudier les systèmes d'exploitation agricole. Dans une déclaration écrite de la FAO reçue par l'Agence de presse Antara à Jakarta a informé mercredi (11 juillet) que les délégués des États-Unis, d'Algérie, d'Australie, du Chili, de Jordanie, du Nigéria, de Norvège et de Thaïlande se sont rendus au centre de Java et à Bali pour constater l'appui de la FAO envers les efforts du gouvernement indonésien pour améliorer le développement agricole.

Le représentant de la FAO en Indonésie, Stephen Rudgard, a déclaré que les délégués se sont rendus dans le centre de Java pour assister à la démonstration de Mina Padi dans le district de Sukoharjo qui est la coopération entre FAO avec le ministère des Affaires maritimes et de la Pêche et le gouvernement pour développer des pratiques innovantes. Après Sukoharjo, la délégation s'est rendue à Yogyakarta pour étudier le programme du ministère de l'Agriculture soutenu par la FAO et l'Agence américaine d'aide développement international -USAID, pour détecter et éradiquer les épidémies de volaille menaçant également la population humaine.Antara/VOI/Mai

 

09
November

 

La délégation indonésienne, présidée par le directeur des négociations bilatérales du ministère du commerce, Ni Made Ayu Marthini, menait le deuxième round de négociations sur un accord commercial préférentiel (IM-PTA) jeudi 8 novembre à Maputo, au Mozambique. Elle a déclaré jeudi à la Voix de l’Indonesia que la négociation etait la suite de la première négociation qui a ete achevée en juin.

Elle souhaite que cette deuxième réunion puisse résoudre les questions de fond et à la fin de l'année, les acteurs économiques pourraient les utiliser immédiatement. Cet accord réduira ou supprimera les droits de douane à l'importation pour un certain nombre de produits dans l'intérêt des deux pays.

Ni Made Ayu Marthini

‘’Nous ne choisissons pas l'ALE, l'accord de libre-échange ou la LCPE, l'accord global de partenariat économique. Mais nous avons choisi PTA, l’Accord commercial préférentiel. Cela signifie que seuls quelques produits pour lesquels nous accordons un traitement préférentiel. Pourquoi ? Pour accélérer, il faut aussi être réaliste. Donc, si le pays a une nouvelle relation mais son potentiel existe, nous le faisons comme ça. Avec le Mozambique, nous avons décidé100 produits. Nommés ‘’Les lignes tarifaires’’. Donc c'est plus rapide. Ainsi, après avoir négocié deux fois, il y a eu un pourboire ou une bonne perspective à terminer’’.

Ni Made Marthini a également expliqué que l'augmentation de l'accès au marché des zones non traditionnelles, en particulier de l'Afrique, était l'un des objectifs de la politique du président Jokowi en matière de promotion des exportations nationales. Le marché potentiel du Mozambique est grand car il peut servir de plaque tournante pour l’entrée des produits indonésiens dans la région africaine, en particulier dans la région sud-africaine.

Il existe encore de nombreux produits potentiels qui n'ont pas été explorés au maximum. En outre, ce pays produit des matières premières nécessaires aux industries indonésiennes. Les produits potentiels de l'Indonésie pouvant être exportés au Mozambique sont le CPO et ses dérivés, l'acide gras et le savon. L’exportation de savon d'Indonésie est très populaire dans les pays africains. VOI/Sekar/Ik

09
November

 

L'Agence des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) a organisé l’Académie de gestion de la transformation sociale de l'UNESCO ou Une Académie MOST de l'UNESCO’’ du 8 au 10 novembre 2018 à Pekanbaru, Riau. Irakli Khodeli, le spécialiste du programme pour l'unité des sciences sociales et humaines de l'UNESCO Jakarta, a déclaré que la réunion avait pour but de discuter du traitement du smog. 

Dans son discours à l'ouverture de l'Académie MOST de l'UNESCO, jeudi à Pekanbaru, Riau, Irakli Khodelia déclaré que ce forum était une arène permettant aux différentes parties concernées de contribuer en partageant les expériences liées aux efforts  pour faire face aux dangers de la brume.

La province de Riau a été choisie pour accueillir la réunion car elle est considérée comme l'une des zones plus touchés par la catastrophe sociale et environnementale. Selon Irakli, la réunion de trois jours devrait également produire des recommandations et une contribution pour que le gouvernement prenne des mesures efficaces pour lutter contre le smog.

Irakli Khodeli :

‘’ L'idée est de tirer parti des experts, spécialistes, et praticienspendant les deux jours, pour échanger des points de vue,apprendre les uns des autres sur ce qu'il est possible de faire pour lutter contre le problème important de la pollution de l'air par la brume’’.

Lthème de l’’Académie de gestion de la transformation sociale de l’UNESCO ou l’Académie MOST de l’UNESCO à Pekanbaru est ‘’Bioéthique et science durable en action contre la pollution par le brouillard de fumée’’. 

Irakli Khodeli a expliqué que l'aspect bioéthique etait abordé lors de l'adoption de la Déclaration de principes éthiques concernant les relations avec les changements climatiques en 2017. Selon lui, la déclaration soulignait l'importance d'utiliser la science comme principe éthique dans toutes les décisions prises par le gouvernement, notamment en ce qui concerne le changement climatique.

Irakli Khodeli :

 ‘’ Tous les articles, principes, et concepts, après divers efforts pour combiner dans une déclaration internationale, ne produira rien si nous ne faisons rien. Si nous ne trouvons pas le moyen de transmettre la déclaration au niveau gouvernemental central et régional et de la traduire en actions concrètes’’.

Irakli espère que l'approche bioétique dans une prise de décision au niveau gouvernemental peut aider à concilier les divers intérêts en jeu dans chaque problème. VOI/Ndy/Ik

08
November


Garuda Maintenance Facility AeroAsia  - GMF sa construira une usine de fabrication de pneumatiques pour les avions en établissant la coopération avec des investisseurs chinois, à savoir China Communication Construction Company (CCCC) et des fabricants de pneumatiques d'Europe ou des États-Unis, qui sera commencé  l'année prochaine. Lors d'une conférence de presse à Tangerang, le président directeur de GMF, Iwan Joeniarto, a déclaré que la signature avait été faite  avec  CCCC, qui donner Le fond de   500 millions dollars américains lors d'une réunion du FMI à Bali il y a quelque temps. Iwan a expliqué que sa  partie développerait le rechapage ou le revêtement de pneus avec la technologie  adoptée de l'usine européenne ou américaine. Toutefois, il a ajouté que  la coopération serait également développée pour la maintenance des moteurs et des composants d'aéronefs, sans se limiter aux pneumatiques. Il a dit que l'année prochaine le projet de construction d'avions pourrait commencer en Indonésie. Antara/VOI/Mai