L'Agence des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) a organisé l’Académie de gestion de la transformation sociale de l'UNESCO ou ’Une Académie MOST de l'UNESCO’’ du 8 au 10 novembre 2018 à Pekanbaru, Riau. Irakli Khodeli, le spécialiste du programme pour l'unité des sciences sociales et humaines de l'UNESCO Jakarta, a déclaré que la réunion avait pour but de discuter du traitement du smog.
Dans son discours à l'ouverture de l'Académie MOST de l'UNESCO, jeudi à Pekanbaru, Riau, Irakli Khodelia déclaré que ce forum était une arène permettant aux différentes parties concernées de contribuer en partageant les expériences liées aux efforts pour faire face aux dangers de la brume.
La province de Riau a été choisie pour accueillir la réunion car elle est considérée comme l'une des zones plus touchés par la catastrophe sociale et environnementale. Selon Irakli, la réunion de trois jours devrait également produire des recommandations et une contribution pour que le gouvernement prenne des mesures efficaces pour lutter contre le smog.
Irakli Khodeli :
‘’ L'idée est de tirer parti des experts, spécialistes, et praticiens, pendant les deux jours, pour échanger des points de vue,apprendre les uns des autres sur ce qu'il est possible de faire pour lutter contre le problème important de la pollution de l'air par la brume’’.
Le thème de l’’Académie de gestion de la transformation sociale de l’UNESCO ou l’Académie MOST de l’UNESCO à Pekanbaru est ‘’Bioéthique et science durable en action contre la pollution par le brouillard de fumée’’.
Irakli Khodeli a expliqué que l'aspect bioéthique etait abordé lors de l'adoption de la Déclaration de principes éthiques concernant les relations avec les changements climatiques en 2017. Selon lui, la déclaration soulignait l'importance d'utiliser la science comme principe éthique dans toutes les décisions prises par le gouvernement, notamment en ce qui concerne le changement climatique.
Irakli Khodeli :
‘’ Tous les articles, principes, et concepts, après divers efforts pour combiner dans une déclaration internationale, ne produira rien si nous ne faisons rien. Si nous ne trouvons pas le moyen de transmettre la déclaration au niveau gouvernemental central et régional et de la traduire en actions concrètes’’.
Irakli espère que l'approche bioétique dans une prise de décision au niveau gouvernemental peut aider à concilier les divers intérêts en jeu dans chaque problème. VOI/Ndy/Ik