L'Indonésie a intégré 94 des 169 cibles des objets de développement durable (ODD) au cours des cinq premières années de 2015-2019. L'Indonésie inclura tous les objectifs dans le plan des cinq prochaines années. Et sur 241 indicateurs d’ODD, 165 d’entre eux sont bien définis et ses données sont également disponibles. Bambang Brodjonegoro, ministre indonésien de la Planification du développement national, a déclaré à Nusa Dua Bali, vendredi (12/10).dans son discours intitulée "Mettre en œuvre les objectifs de développement durable dans un monde en mutation: La localisation, l’inclusion et les investissements utiles
Bambang Brodjonegoro a déclaré que l'Indonésie avait décentralisé la plupart de ses efforts de développement vers le gouvernement local. Par conséquent, les objectifs de développement durable doivent également être localisés au niveau infranational, au niveau des provinces, des districts ou des villes.
Il a déclaré que le principe de la mise en œuvre des objectifs de développement durable était le principal défi de l'Indonésie. Mais l’Indonésie a resolu ce défi en impliquant le gouvernement, le parlement, le secteur privé et la société civile. Par conséquent, il a souligné la nécessité de renforcer les partenariats pour réaliser le Programme de l'ONU en 2030
Bambang Brodjonegoro :
“Comme nous en sommes convenus, nous devons poursuivre nos efforts pour mettre fin à la pauvreté et à la famine dans le monde pour lutter contre les inégalités, au sein des pays ou entre eux, afin de construire des sociétés pacifiques, justes et inclusives afin de protéger les droits de l’homme et de promouvoir la protection de la planète et de ses ressources naturelles”.
Dans son discours, le ministre Bambang Brodjonegoro a également remercié le FMI et le groupe de la Banque mondiale de prêter une attention particulière à la mise en œuvre des objectifs de développement durable, en particulier dans les domaines de la localisation, de l'intégration et de l'impact sur les investissements. Il a également insisté la communauté internationale à poursuivre ses efforts pour le bien-être de la population sans sacrifier la nature pour atteindre les objectifs de développement durable. VOI/DP/Mai
La Corée du Sud, par l’intermédiaire de la Banque industrielle de Corée offre l’élargit de l’accès au financement des micro, petites et moyennes entreprises (MPME) indonésiennes avec diverses facilités.
Le secrétaire du ministère des coopératives et des petites et moyennes entreprises ( MPME), Meliadi Sembiring, a déclaré recemment à Nusa Dua Bali, lors d'une réunion bilatérale avec le PDG de la Banque industrielle coréenne, Kim Do Jin, que la Corée du Sud avait spécifiquement proposé d'élargir l'accès au financement des MPME en Indonésie.
La Corée accorde une priorité spéciale au crédit aux MPME d'Indonésie. À cette fin, la Banque industrielle de Corée ouvrira une succursale en Indonésie. Pour la première phase, la Banque industrielle de Corée ouvrira une succursale à Jakarta et dans d’autres régions. Le le processus et les exigences nécessaires à la Banque industrielle de Corée pour opérer en Indonésie sont déjà dans la phase finale. Antara/VOI/Ik
Le vice-président Jusuf Kalla et le secrétaire général des Nations unies, Antonio Gutteres, ont rendu visite aux victimes du séisme dans le centre de Sulawesi dans les hôpitaux de campagne, au poste de refuge et sur plusieurs points touchés dans la ville de Palu, vendredi (12/10).
Avant de se rendre sur plusieurs points, le chef de l’Agence nationale de gestion des catastrophes naturelles, Willem Rampangilei, a expliqué à l'aéroport Mutiara Al-Jufri, la ville de Palu, au vice-président, Secrétaire général de l’ONU et représentants de la Banque mondiale sur les zones touchées par le séisme, les tsunamis et la liquéfaction, ainsi que les mesures d’urgence prises après le séisme. Willem a déclaré que la gestion d'urgence était toujours en cours et le gouvernement de la province de Sulawesi central avait prolongé son statut jusqu'au 26 octobre 2018.
Le secrétaire général des Nations unies était très impressionné par la gestion des catastrophes par le gouvernement indonésien, car le gouvernement était très attentif à la gestion des catastrophes. La gestion peut être mieux faite après la réparation de l'accès à la terre et à la mer, et la récupération des services publics de base tels que l'électricité, l'eau et le fioul. BNPB/VOI/Ik
La Banque mondiale a lancé l'indice du capital humain au milieu d'une série d'activités de la réunion FMI-Banque mondiale à Nusa Dua Bali
Le ministre des Finances, Sri Mulyani Indrawati, a déclaré jeudi à Bali que l’Indonésie était prête à devenir le premier pays à adopter le projet. L’Indonésie a besoin des idées de tous les pays du monde participent aux efforts de développement humain dans le pays.
Sri Mulyani espère que le projet de capital humain lancé par la Banque mondiale pourra donner une image efficace sur la formation de la politique et le schéma de financement pour le gouvernement indonésien, qui seront adoptés à l'avenir par d'autres pays.
Sri Mulyani Indrawati :
« Pour cette réunion sur le capital humain, l’Indonésie deviendra volontairement le premier pays à adopter. Parce que nous croyons que le capital humain est très important. C'est important pour l'Indonésie et aussi pour le monde. J'espère que ce projet de capital humain peut réellement créer des mouvements forts et des progrès effectifs dans les programmes de politique et de conception pour de nombreux pays. Parce que chaque année, nous passons en vain à la jeune génération qui a le droit à une vie meilleure aujourd'hui et demain. Et cela peut être atteint si nous sommes sérieux et efficaces de canaliser les investissements en capital humain ».
Selon Sri Mulyani, le développement humain devrait être axé sur les secteurs du financement et de l'éducation. Ces deux secteurs jouent un rôle important pour que l'objectif du capital humain puisse être atteint comme prévu. Elle a également souligné l'importance du capital humain dans un pays. Le capital humain est la clé pour réduire la pauvreté et éliminer les inégalités. En outre, sur la scène internationale, le capital humain est un facteur clé de l’économie mondiale. VOI/Ndy/Ik