03
February

 

Le gouvernement de l'Indonésie s’efforçait à lutter contre la malnutrition dans la régence d'Asmat, en Papouasie. Les changements dans la structure de la vie communautaire en Papouasie ont contribué à affecter le problème de la malnutrition. En général, les habitants de Papouasie  dépendent  de l'offre  de riz du gouvernement. Cela a été déclaré par la ministre de l'autonomisation des femmes et de la protection de l'enfance, Yohana Yembise aux médias après la réunion de consultation entre le gouvernement et le parlement  à l'édifice du Parlement Jakarta jeudi (1/2). Un autre facteur contribuant au problème de la malnutrition dans la régence  d'Asmat est la résidence des tribus Asmat qui est dans marécages, éloignées et difficiles à atteindre. Par conséquent, le ministère de l'autonomisation des femmes et de la protection de l'enfance lancera le programme de régence décent pour les enfants.

Yohana Yembise:

« Nous pouvons donc entrer en particulier dans la Déclaration de la  régence décent pour les enfants, où les droits des enfants doivent être veillés  pour la croissance des enfants, y compris une protection spéciale pour les enfants là-bas. La malnutrition, les enfants scolarisés ou non, sont inclus dans 24 indicateurs au-dessous  dans la  régence décent pour les enfants. Nous lançons donc la régence  d'Asmat vers la  régence décent pour les enfants qui impliquera les chefs traditionnels, les chefs religieux, y compris l'organisation des dispositifs régionaux (OPD), ainsi que les communautés elles-mêmes qui doivent soutenir ce programme ».

La ministre Yohana Yembise a également expliqué,  si le programme de la   régence décent pour les enfants se déroule selon le plan et le mécanisme existant, alors il remplira  le droit de l'enfant, entre autres, certificat de naissance, éducation et service de santé. Si ces droits ne sont pas remplis, cela aurait violé la Convention relative aux droits de l'enfant. VOI/AF/Mai

03
February

Le ministre du Tourisme Arief Yahya a déclaré qu'en 2017, le tourisme en Indonésie a augmenté de 22%. Lors d'une réunion du ministère du Commerce tenue à Jakarta jeudi (1er février), il a expliqué que ce chiffre est 3 fois plus élevé à la croissance du tourisme dans la région de l'ASEAN et dans le monde. La croissance du tourisme dans l'ASEAN a augmenté de 7% et la croissance mondiale de 6,4%. L'Indonésie devient le deuxième plus grand pays de croissance touristique dans l'ASEAN après le Vietnam avec une croissance de 25,2%.

Le ministre Arief Yahya vise à ce que le tourisme devienne la plus grande source de devises étrangères en Indonésie. En 2016, le tourisme est devenu le deuxième plus gros bénéfice en devises après l'huile de palme brute. Il considère que la déréglementation est la clé de l’augmentation de la croissance touristique. Il y a trois grandes dérégulations qui ont été faites par le gouvernement dans l’augmentation de la croissance du tourisme.

Arief Yahya :

"Pour que nous soyons rapides, nous devons faire la déréglementation que ce soit dans le tourisme, le commerce ou l'investissement. Donc, faisez  la dérégulation! Mais sa philosophie,  si dans le tourisme, c'est facile  d'entrer en Indonésie. Rendre les gens faciles à entrer en Indonésie. Les trois grands étaient, un était sans visa, le deuxième le voilier était facile à entrer, les trois sont la croisière  peut entrer facilement en Indonésie. "

Le ministre Arief Yahya a expliqué que pour faciliter l'entrée des touristes en Indonésie, ce ministère a accordé une exemption de  visa  pour 169 pays. En 2013, 15 pays ont obtenu l’exemption de visa. la révolution technologique à travers les affaires de l’agence voyages en ligne contribue également à la croissance du tourisme en Indonésie. En 2018, le ministère du Tourisme cible 17 millions de touristes étrangers ou en hausse  de 20%. VOI/Sekar/Mai

03
February

 

Le coût d’application de la Commission d'éradication de la corruption (KPK) dans la lutte contre la corruption est très cher.  Par conséquent, la Commission devrait être fusionnée avec une autre commission, de sorte que le  système de la performance peut être mis en œuvre  plus efficace.  C’est ce qu’a déclaré le vice-président du  Parlement Fahri Hamzah à Jakarta, vendredi (02/02) aux médias.

Fahri Hamzah :

« Il vaut mieux que nous pouvons  intégrer la Commission d'éradication de la corruption (KPK) avec un système de prévention. L'application de la loi est faite par la police et le procureur.  Notre système de prévention relatif est  la prévention qui a le pouvoir, en particulier dans le domaine du service. Je propose que le système d'arrangement est comme la Corée du Sud, la KPK en Corée du Sud a fait  seulement 8 ans, le reste est intégré avec Ombudsman, Si bien qu’il a des succursales partout en Indonésie «.

Le vice-président du parlement, Fahri Hamzah propose également, KPK peut  être intégré avec la Commission nationale des droits de l'homme et  l'Agence de la protection de témoins et de  victime, de sorte qu'il devient comme une commission des plaintes. S’il y avait  l'administration publique insatisfaisante ou d'abus, il peut faire un rapport à cette commission. VOI/AF/Mai

02
February

Le Directeur de la politique étrangère et de la sécurité du ministère des affaires étrangères, Chandra Widya Yudha, lors de sa conférence de presse qui s'est tenue jeudi, le  1er février 2018 à Jakarta, a déclaré que la mise en place d'instruments régionaux d'extradition serait l'une des questions que l'Indonésie devra soumettre à la première réunion des ministres des affaires étrangères de l'ASEAN à Singapour les 4 et 6 février 2018. Selon lui, la mise en place de tels instruments est très importante non seulement pour l'Indonésie mais aussi pour la zone  d'Asie du Sud-Est.

Chandra Widya Yudha :

«  Ceci est important non seulement pour l'Indonésie, mais aussi pour notre région pour répondre aux défis croissants liés à la criminalité transnationale, ainsi que les questions transnationales. Techniquement, cela  a été discuté actuellement.Il y a plusieurs approches, y compris les tentatives de démarrage, d'abord en formant un modèle de loi ».  

Chandra a ajouté que l'un des défis qui devait être fait face dans l'effort pour établir l'instrument d'extradition dans cette région est l'existence de différences juridiques dans chaque pays de l'ASEAN.Ainsi, la première réunion des ministres des affaires étrangères de l'ASEAN cette année devrait être le bon moment pour discuter plus intensément du défi. VOI/Rezha/Mai