hudri

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25
June

=== Le gouvernement palestinien et les autorités israéliennes ont resserré un certain nombre de restrictions après que plusieurs citoyens des deux régions se soient révélés positifs pour la COVID-19. Les autorités locales craignent que le nouveau cas ne déclenche une "deuxième vague" d'épidémie de COVID-19. Les règles de quarantaine ont recommencé mercredi dans un certain nombre de régions, dont une ville du centre d'Israël et plusieurs colonies résidentielles dans la ville de Tibériade.

À Tibériade, le nombre de cas positifs de COVID-19 est assez élevé. L'Autorité palestinienne applique la quarantaine territoriale dans la ville d'Hébron, en Cisjordanie. Pendant ce temps, Israël est l'un des pays qui ont fermé les frontières et imposé des restrictions strictes lorsque la COVID-19 a été déclaré pandémie par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), en mars.

Les autorités palestiniennes ont immédiatement suivi ces étapes. La politique de quarantaine a fait sombrer les économies des deux régions, mais cette mesure a réussi à supprimer la propagation du SRAS-CoV-2, un nouveau type de coronavirus qui cause la COVID-19. (Antara.Voi.Dry)

25
June

=== L'Iran est prêt à entamer des négociations avec les États-Unis si Washington s'excuse d'avoir quitté l'accord sur le nucléaire iranien de 2015, ainsi que d'accorder une compensation à Téhéran. C'est ce qu'a déclaré mercredi le président iranien Hassan Rouhani.

Le président des États-Unis, Donald Trump, a quitté en 2018 le pacte nucléaire iranien, conclu avec les six grandes puissances mondiales, et a de nouveau imposé des sanctions à Téhéran. Trump a déclaré que le pacte n'était pas suffisant pour empêcher le programme de missiles et l'influence de Téhéran dans la région.

Rouhani a déclaré dans une allocution télévisée qu'il n'avait aucun problème à parler aux États-Unis, mais seulement si Washington remplissait ses obligations en vertu de l'accord nucléaire, présentait des excuses et indemnisait Téhéran pour s'être retiré de l'accord de 2015.// (Antara.Voi.Dry)

24
June

Dans le cadre des discussions censées l'aider à dessiner la fin de son quinquennat, le chef de l'État rencontre actuellement Nicolas Sarkozy. François Hollande se rendra à l'Elysée vendredi.

Il consulte tous azimuts pour dessiner la fin de son mandat. Toute cette semaine, à l'orée du second tour des élections municipales, Emmanuel Macron multiplie les rencontres politiques à l'Elysée. Ses deux prédécesseurs, Nicolas Sarkozy et François Hollande, sont du nombre. S'agissant de l'ancien patron des Républicains, il s'entretient ce lundi après-midi avec le chef de l'État. Quant à François Hollande, dont les relations avec son successeur sont notoirement fraîches, il est censé venir à l'Elysée vendredi. C’est ce qu’a rapportée BFMTV dans son site internet mardi, le 24 juin2020.

Selon l’information reçue par BFMTV, l'ex-président socialiste viendra pour un entretien à partir de 13h15, pas nécessairement pour le déjeuner. Entre-temps, Emmanuel Macron doit rencontrer les présidents des groupes parlementaires du Sénat mardi puis ceux de l'Assemblée nationale jeudi. Ces rencontres se feront en présence, respectivement, du président de la Chambre haute Gérard Larcher et, jeudi, de Richard Ferrand. (BFMTV.VOI.DRY)

24
June

Un membre de la force indonésienne de maintien de la paix en poste à la Mission de la MONUSCO, en République démocratique du Congo, serait mort. Le décès du sergent-major Rama Wahyudi a été confirmé mardi par la ministre des Affaires étrangères Retno Marsudi via son compte Twitter.

La ministre des Affaires étrangères Retno a déclaré, la plus haute appréciation à feu Rama Wahyudi pour son service dans le maintien de la paix mondiale. Citant un rapport de l'AFP d'une source onusienne, un membre des forces de maintien de la paix d'Indonésie a été tué et une autre personne a été blessée dans une attaque de milices lundi soir (22/6) dans l'est de la République démocratique du Congo.

Leur patrouille a été attaquée à environ 20 kilomètres de la ville de Beni, dans la province du Nord-Kivu. La ministre des Affaires étrangères Retno a déclaré que le Conseil de sécurité des Nations unies avait fermement condamné l'attaque contre la MONUSCO et demandé aux autorités congolaises d'enquêter et de traduire les auteurs en justice.

Dans un communiqué, le chef de la MONUSCO, Leila Zerrougui, a condamné l'attaque, qui, selon elle, a été menée par des "membres présumés des ADF", c’est les Forces démocratiques alliées, un groupe armé bien connu dans l'est du pays.//Antara.Voi.Dry