Le président Macron a finalement annoncé la suspension de la mise en place de toutes les politiques réformistes car selon lui, la France est désormais en guerre contre le coronavirus. C'est ce qu’a rapporté RFI.fr sur son site Internet, le lundi 16 mars 2020.
Dans son rapport, RFI a informé que le gouvernement français avait pris des mesures pour freiner la propagation du coronavirus, et pour continuer à établir la Réforme à ce moment est un moment moins précis. La mesure la plus agressive prise par les autorités est de limiter la circulation des personnes en les obligeant à rester chez elles pendant environ 15 jours.
Le président Macron a en outre regretté les personnes qui n'ont pas respecté les conseils du gouvernement transmis plus tôt de "garder une distance sociale". Pour cela, le gouvernement français est désormais plus strict afin de fermer les restaurants et punira sévèrement ceux qui le violent.
En outre, Macron a également déclaré que le gouvernement français allait désormais fermer toute la frontière avec l'Union européenne et suspendre temporairement l'accord de Shengen. (RFI / Voi / Dry)
Des milliers de pèlerins qui sont retournés en Turquie, après avoir adoré en Arabie saoudite, ont commencé dimanche à être mis en quarantaine par crainte de propagation du virus corona. Selon des responsables turcs, des images télévisées ont montré une longue file d'autobus transportant des pèlerins de l'aéroport d'Ankara vers la ville, dans le cadre d'une opération visant à les placer dans des dortoirs d'étudiants.
La Turquie, qui n'a diagnostiqué que six cas de virus corona, a pris un certain nombre de mesures pour arrêter la propagation du virus corona ces derniers jours, notamment en fermant des écoles et des universités, en jouant à des jeux sportifs sans spectateurs et en arrêtant les vols vers de nombreux pays.
Mercredi, la Turquie est devenue le dernier pays à signaler une épidémie après ce que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a décrit comme une étape "d'alerte" pour ralentir la propagation du virus. Dimanche, la dernière étape a été franchie après que le ministre de la Santé Fahrettin Koca a appelé ceux qui sont revenus de Terre Sainte à se mettre en quarantaine pendant deux semaines. // Antara, 16,3 '20Sg.Dry
Dimanche, plusieurs pays africains ont fermé la frontière, annulé des vols et imposé des exigences strictes d'entrée et de quarantaine pour freiner la propagation d'un nouveau type de virus corona, le COVID-19.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a annoncé une catastrophe nationale et a averti que l'épidémie avait un impact sur les économies des pays en développement du continent africain, en particulier ceux déjà en récession.
Les mesures qui doivent être prises par les pays africains comprennent l'interdiction de voyager vers et depuis des pays tels que l'Italie, l'Allemagne, la Chine et les États-Unis. L'Afrique du Sud, selon Ramaphosa, qui a enregistré 61 cas, interdira également la réunion de plus de 100 personnes.
Par ailleurs, le président kenyan Uhuru Kenyatta a déclaré que son gouvernement avait suspendu les voyages de tout pays avec ceux qui avaient signalé COVID-19. // Antara, 16.3’20Sg.hudri
Plus de la moitié de la population française n'a pas voté au premier tour des élections locales car la pandémie de coronavirus a contraint à la fermeture des installations publiques « sans importance » pour une durée indéterminée. Ça, ce qu’a rapporté RFI.fr dans son site internet, Dimanche, le 15 Mars 2020.
D’après le rapport de RFI, le ministère français de l'Intérieur a indiqué que à 17 heures, le bureau de vote a enregistré un taux de participation d'environ 39%, en baisse de 16 points par rapport à l'année dernière. Il y avait environ 48 millions d'électeurs, y compris des résidents en France d'autres pays de l'UE, ont le droit de voter.
En attendant, les élections détermineront les maires et conseillers locaux dans environ 35 000 villes, villages et villages en France. A Paris, la maire en exercice Anne Hidalgo (Parti socialiste, aile gauche) cherche à conserver le siège de maire. Les principaux opposants sont Rachida Dati (Parti Les Républicains, aile droite) et Agnes Buzyn (Parti du président Macron, Republic on the Move, centre droit) (Rfi/voi/hudri)