Le Président de l'Association des économistes indonésiens (ISEI), Bambang Brodjonegoro a rencontré le vice-président de la République d'Indonésie, Jusuf Kalla à Jakarta, lundi 30 juillet. Bambang, qui est également Ministre de la planification du développement national (PPN) / Chef de l'Agence de planification du développement national (Bappenas), a déclaré que le 20ème Congrès de l'ISEI se tiendra à Bandung, Java Ouest du 8 au 10 août 2018.
Bambang Brodjonegoro :
« Tous les responsables de l'ISEI espèrent que le vice-président Jusuf Kalla pourra assister à l'ouverture du congrès le 8 août 2018 pour fournir une direction liée aux conditions économique de l'Indonésie. Le thème du congrès est de renforcer l'harmonisation entre les secteurs formel et informel ».
Selon Bambang, au 20ème congrès de l'ISEI, il a spécifiquement prêté attention au secteur informel qui a dominé l'économie indonésienne. Il souhaite que ce congrès puisse améliorer les moteurs des activités économiques, notamment dans le secteur informel, et renforcer l'économie dans le secteur formel.
Selon Bambang, ISEI veut mettre l'accent sur l'amélioration de la productivité du secteur informel qui existe actuellement. Les améliorations sont de savoir comment produire, la compétence de la main-d'œuvre qui est impliquée. On espère via cette amélioration, des produits du secteur informel deviennent plus compétitifs. Donc, à l'avenir, les besoins d'importation peuvent être réduits. VOI/Rezha/Ik
L'ambassadeur du Maroc en Indonésie, Ouadiâ Benabdellah a déclaré qu'il était heureux que l'Indonésie soit sélectionnée en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité de l'ONU pour la période 2019-2020, représentant la région Asie-Pacifique. L'Indonésie a dépassé les Maldives lors d'un vote à l'Assemblée générale des Nations Unies il y a quelque temps.
Selon l'ambassadeur Benabdellah, de nombreuses similitudes entre l'Indonésie et le Maroc, entre autre les choses pour lesquelles le Maroc s'est battu dans le monde international qui est également combattu par l'Indonésie, à savoir la lutte du peuple palestinien. Cela a été déclaré par l'ambassadeur Benabdellah à la commémoration du 19ème anniversaire du roi Mohammed VI qui est monté sur le trône, à Jakarta, le lundi 30 juillet 2018.
Ambassadeur Ouadiâ Benabdellah :
« Aujourd'hui, nous sommes ici, félicitations pour l'élection de la République d'Indonésie en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité. Ce succès sera également pris en compte au Maroc, notre succès aussi. C'est notre succès parce que nous partageons avec ce pays. Entrer avec le même espoir, le même avenir, la même perspective, les mêmes cas liés à l'humanité, comme les cas palestiniens. Nous sommes prêts à renforcer nos relations. ».
D’après l'ambassadeur Benabdeelah, le Maroc et l'Indonésie sont comme deux frères éloignés. Les deux pays ont une longue relation, qui a débuté avant l'indépendance de l'Indonésie. Il a également révélé que le Maroc et l'Indonésie partageaient plus d'une relation. Ils ont des relations historiques, religieuses et politiques, la diversité, les valeurs humaines et diverses autres relations. VOI/Rezha/Ik
L'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) a organisé la réunion de coordination stratégique régionale Asie-Pacifique à Jakarta du 30 au 31 juillet. Le représentant de l'UNESCO à Jakarta, Shahbaz Khan, a déclaré que la réunion discutait des mesures qui peuvent être faites pour utiliser la science et la technologie afin d’atteindre l'objectif du développement durable.
Shahbaz Khan, a egalement déclaré que la réunion visait à positionner les programmes scientifiques de l'UNESCO en Asie-Pacifique comme une plate-forme efficace pour la mise en œuvre de l'Agenda 2030 et des objectifs de développement durable.
Shahbaz Khan :
‘’ici, 17 pays d'Asie-Pacifique viennent pour discuter de la façon dont la science et la technologie peuvent nous aider à atteindre un meilleur développement durable. Surtout pour réaliser 17 objectifs de développement durable. Comme par exemple l'eau. La sécurité de l'eau, comment nous pouvons éliminer la pauvreté, comment nous pouvons avoir une meilleure santé, comment nous pouvons avoir un système transparent avec de meilleures données et technologies. C'est l'idée’’.
Selon Shahbaz Khan, la région Asie-Pacifique joue un rôle important pour assurer que les objectifs de développement durable peuvent être atteints. Avec la présence de 60 % de la population mondiale, la région Asie-Pacifique a un grand potentiel dans le développement d'une forme de coopération entre les pays. Cette zone a également un niveau de vulnérabilité assez élevé, entre autres, les catastrophes naturelles et l'égalité. Selon lui, ces problèmes peuvent être résolu en utilisant la science et la technologie. VOI/Ndy/Ik
Le Chef de la direction de la commission nationale indonésienne pour l'UNESCO du Ministère de l'Education et de la Culture, Arief Rahman, encourageait l'UNESCO à accroître la contribution à utiliser la science et la technologie pour surmonter les défis, y compris les objectifs de développement durable.
Selon Arief Rahman, l'Indonésie en tant que pays archipélagique a des défis dans la lutte contre les changements climatiques. En outre, la migration, l'égalité et la 4e révolution industrielle est aussi devenu un défi commun dans la région Asie-Pacifique. Cela a été declaree à la réunion de coordination stratégique régional Asie-Pacifique de l'UNESCO à Jakarta, lundi (30/7).
Arief Rahman a dit que UNESCO en tant qu'institution des Nations Unies chargé de la science devrait être en mesure de contribuer à faire face à ces défis, notamment par des politiques qui pouvaient encourager les efforts à surmonter les défis des objectifs de développement durable.
Arief Rahman :
“Nous avons maintenant quelques problèmes qui ont à voir avec l'Indonésie. Par exemple, le changement climatique. C'est très important. L'urbanisation, la migration des villages vers les villes. Il y a encore la pauvreté. L'existence des différences, l'inégalité entre ceux qui sont intelligents, et les moins intelligents, les riches et les non riches. Ceux qui vivent dans la ville et ceux dans le village. Pour cela, nous devons voir la contribution de la science à ces problèmes.Le plus important, l'Unesco ne pense pas seulement à la science, mais pour quel est ce développement durable.Quelle est sa contribution ?. Je pense que la contribution la plus importante est les politiques”.
En plus de pousser à travers les politique, l'UNESCO pourrait également jouer un rôle dans le renforcement de la capacité scientifique et technologique des pays membres. UNESCO, selon Arief, peut également contribuer à la promotion de l'utilisation durable des écosystèmes, en particulier à travers la gestion des forêts et la biodiversité. VOI/Ndy/Ik