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L’école primaire Claremont College, à Randwick, en Australie explore la coopération «école sœur» avec une école équivalente en Indonésie. Le consul général indonésien à Sydney, mercredi a dit que le responsable de la tâche de l’Indonésie a Sydney Hermanus Dimara, a rencontré le directeur du collège Claremont pour discuter d'autres projets de collaboration sur le programme d'enseignement des langues indonésiennes et des activités connexes.

Claremont bien apprécie le conseil du Consulat général indonésien d'établir la coopération une «école sœur» avec l'une des écoles primaires de Jakarta, sous la coopération provinciale-étatique entre Jakarta et la Nouvelle-Galles du Sud. Par ailleurs, le directeur de Claremont, Doug Thomas, a déclaré que le développement d'une «école sœur» avec une école primaire en Indonésie serait un bon exemple pour d'autres écoles en Australie qui ouvrent une classe indonésienne. Antara/VOI/Ik

Au sud de l'île Seram, en province Moluques, il y a un village appelé Yalahatan. L'origine de la communauté Yalahatan provient du Royaume Hammual. Le royaume Hammual est assez grand car il comprend de 99 pays. Mais le triomphe du royaume Hammual doit être bloqué par l'arrivée du colonial hollandais. Le Royaume Hammual a été divisé en plusieurs régions à Moluques et les zones environnantes. L'un des groupes rassemblés au pays Tamilow, au sous-district Amahai, à Moluques Central, s’appelle Yalahatan, ce qui signifie «clôture de protection solide».

La langue Yalahatan est parlée par la communauté au village Yalahatan, sous-district Amahai, régence Moluques Central, en province Moluques. Selon les habitants, la zone de discours de la langue Yalahatan est adjacente à la zone de discours de la langue Haya à l'Est et à la zone de discours de la langue Tamilou à l'Ouest du village Yalahatan. Basé sur les résultats du calcul de dialectométrie, l'isolat de la langue Yalahatan est un langage parce que le pourcentage de la différence est d'environ 81% -100% par rapport à d'autres langues à Moluques, comme les langues Samasuru, Loon et Piru.

Chers amis, c’est quelques exemples de mots dans la langue Yalahatan.

Yau = Je

Yale = Tu

Ama = Père

Ina = Mère

éu i = Aller à

Sekola = Ecole

Voici l’exemple de conversation dans la langue Yalahatan.

Yau éu i sekola = Je vais à l'école.

Ina éu i pasar apetu = La mère est allée au marché hier.

Ama imolama i éu   =   Le père est parti.

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Plus de 300 hommes d’affaires du tourisme de différents pays de l'Asean et de l'Inde, ainsi que plusieurs villes en Indonésie ont voyagé à plusieurs destinations touristiques à Banyuwangi, Java Est, pendant trois jours, du 20 au 22 Février. L’évènement avec le thème «Osing Travel Mart » gère divers paquet touristique  qui visent à attirer plus de touristes nationaux et étrangers.

Le Président de la Bourse touristique de Java Est, Nasrun Afandi a dit à Banyuwangi, mercredi qu’Osing Travel Mart a reçu une bonne réponse des entrepreneurs du tourisme, des vendeurs et des acheteurs qui sont sélectionnés leur crédibilité. Certains facteurs qui influent l'enthousiasme, sont entre autres le secteur du tourisme a Banyuwangi qui développe en quelques années.  Le régent de Banyuwangi Abdullah Azwar Anas, à Banyuwangi, mercredi (21/2), a déclaré que cet événement visait à trouver le nouveau marché, tels que d'ASEAN et d'Inde. KBRN/VOI/Ik

Au moins 3000 personnes de l'Agence nationale de gestion des catastrophes – BNPB et l'Agence nationale de gestion des catastrophes régionale – BPBD en Indonésie ont participé à la réunion de travail nationale à Nusa Dua, Bali. Le chef de BNPB, Willem Rampangilei, a déclaré aux journalistes à Bali Nusa Dua Convention Centre, mercredi (21 / 2), que la réunion de travail pour évaluer de l'Agence nationale de gestion des catastrophes – BNPB et l'Agence régionale de gestion des catastrophes régionale – BPBD en 2017. Selon lui, cette évaluation sera la base de rédiger la stratégie de travail en 2018.

Willem Rampangilei :

« Par conséquent, dans cette réunion, nous devons, premièrement, déterminer la priorité. Deuxièmement, nous ne pouvons plus gérer les catastrophes de façon traditionnelle. Nous avons besoin d'innovation, de percée, d'utilisation de la technologie, de développement des capacités ».

Le Chef de l'Agence nationale de gestion des catastrophes a expliqué, tout au long de 2017, il a réussi à réduire le risque de la gestion de catastrophe. On peut voir à partir du nombre des mortes à cause des catastrophes naturelles en Indonésie. Selon lui, la condition est soutenue par la préparation de parties prenantes concernées. Non seulement le gouvernement, la société jouent également un rôle actif dans la réduction des risques de catastrophes naturelles en 2017. Cette activité est participée par des ministres du cabinet de travail du 21 au 23 Février. VOI/ Hikmat Raharjo/Ik