charme de l'Indonésie (924)
May
Porridge de Kanji Rumbi, cuisine typique d'Aceh pour iftar
Written by Kartika
Ramadan est arrivé. Cela signifie qu'il y aura beaucoup d’aliments et de boissons qui sont vendues au bord de la route avant l’iftar. Et quelquefois on n'en peut pas trouver dans d’autres mois, sauf à Ramadan, comme par exemple Kanji Umbi, l’iftar typique des gens à Aceh, surtout les gens dans le district de Bireuen.
Kanji Rumbi est la bouillie typique de Aceh qui sont mélangée avec des légumes et des épices, comme le poivre, le gingembre, la muscade, la cannelle, les clous de girofle, l’anis étoilé, coriandre, cardamome, citronnelle, feuilles de pandanus, le céleri, l'oignon et l'ail. Les légumes sont composés de carottes et de pommes de terre, coupées en cube. On peut aussi ajouter les crevettes et le poulet en Kanji Rumbi pour plus délicieux. Pour faire cuire, il faut environ 2 à 3 heures.
En raison de l’utilisation des épices, kanji rumbi a un arôme distinctif avec un goût délicieux et épicé. Cet aliment est également bon pour la santé. Les épices peuvent être un médicament pour réchauffer le corps. C’est pourquoi les gens d’Aceh préfèrent cet aliment pour l’iftar.
Pour les habitants d'Aceh, en particulier dans le district de Bireuen, kanji rumbi n'est pas seulement l’iftar, cette bouillie est devenue une tradition de génération en génération. La population locale cuit Kanji Rumbi ensemble, il y a des gens qui donnent des matières premières ou bien donner de l'argent pour acheter des matériaux. Avant la rupture du jeûne, chaque citoyen apporte un contenant pour prendre kanji rumbi dans la mosquée et ramené à la maison comme l’iftar. Dans d'autres régions à Aceh, kanji rumba est l’iftar qui être distribué dans les mosquées gratuitement.
May
Entrer dans l'un de sites historiques à Minahasa du Nord a besoin d'un peu de lutte. Son emplacement derrière les habitations et les terres des habitants fait l'un des sites historiques du nord à Sulawesi Nord un peu caché. C'est le site Waruga Sawangan qui est une ancienne tombe mégalithique du peuple Minahasa.
Waruga est estimé à se développer environ le début du 13ème siècle avant le Christ. La première apparition de Waruga était dans les régions Bukit Kelewer, Treman et Tumaluntung, en regence Minahasa Nord. L'apparence de Waruga a ensuite continué à s'étendre dans diverses régions à Sulawesi Nord jusqu'au début du 20ème siècle. À l'époque préhistorique, la communauté Minahasa croyait toujours que les esprits ancestraux avaient des pouvoirs magiques. Waruga se compose de deux parties, la partie du corps et le couvercle. Les parties en forme de cube du corps et les bouchons ressemblent au toit de la maison.
Uniquement, waruga n’est pas faite par des parents ou des proches du défunt, mais faite par la personne qui va mourir. Quand la personne mourra, elle entrera par elle-même dans le waruga qu'il a fait après avoir reçu des provisions de tombe complètes. Un jour où cela sera fait, cela apportera du bien à la famille abandonnée. En fait, à Sulawesi Nord, il existe de nombreux sites Waruga, l'un d'entre eux se trouve au village Sawangan, sous-district Airmadidi, en régence Minahasa Nord. Il y a 143 Waruga dans ce village qui sont divisés en plusieurs tailles regroupées en 3 groupes.
Le premier groupe, Waruga en petite taille avec une hauteur entre 0-100 cm d’un montant de 10 pièces. Deuxièmement, Waruga en taille moyenne avec une hauteur entre 101-150 cm d’un montant de 52 pièces. Troisièmement, Waruga en grande taille avec une hauteur entre 151-250 cm d’un montant de 81 pièces. Waruga vient de la langue Tombulu, qui est de la syllabe Wale Maruga qui signifie la maison du corps à sécher. Waruga a également d'autre signification, à savoir Wale Waru ou tombe de Domato ou une sorte de sol cireux.
May
La tradition de Dugderan à Semarang, Java Central
Written by maysaroh
Certaines régions ont des traditions qui sont menées pour accueillir le mois sacré de Ramadhan. L'une d'entre eux est la tradition Dugderan de Semarang, Java central. La tradition de Dugderan a été menée depuis 1881 et jusqu'à présent est toujours menée par les gens de Semarang. La différence, aujourd'hui Dugderan est une fête folklorique comme les danses, le carnaval, et la percussion bedug.
Le nom de Dugderan vient de "Dug" qui est le son de bedug, et "Der" qui est le son de l'explosion de pétard. Ce nom est un signe de jeûne, il est commencé par bedug et se termine par pétard. La tradition est tenue de rappeler aux résidents que le mois de Ramadhan est proche. Pendant une semaine, avant le Ramadhan, il y aura un marché qui vend une grande variété de produits,et il y a une mascotte liée au festival, à savoir "Warak Ngendok".
Dugderan sera fini un jour avant le jeûne et l'événement de pointe de la tradition dugderan est animé du carnaval culturel. Le carnaval commence dans la cour de la mairie de Semarang. L'ouverture de l'événement est signée par le battement de bedug par le maire de Semarang.
Après l'ouverture, le maire monte la charrette de Kencana qui est gardée par les troupes de Pandanaran à la Grande Mosquée de Semarang Kauman. Là-bas, le maire sera accueilli par Warak Ngendok. Warak Ngendok représente l'acculturation de la culture de diversité ethnique dans la ville de Semarang, à savoir la Chine, l'arabe et Java.
Depuis 1881, le gouvernement du régent Kyai Raden Mas Tumenggung Purbaningrat a commencé la tradition dugderan basée sur sa conscience de la paix du peuple de Semarang, car il y avait un mouvement qui s'est désuni depuis l'arrivée du colonial hollandais. Jusqu'à ce qu’il est arrivé de regrouper les communautés à Semarang.
La tradition de Dugderan était destinée à rassembler toute la société dans une atmosphère joyeuse pour s'unir, se rassembler et saluer sans différences. En outre, il est assuré que le début du mois de Ramadan strictement et simultanément basé sur l'accord du régent et prêtre de la mosquée, de sorte qu’on a vu un esprit unificateur qui est ressenti dans la tradition.
May
Le charme de la beauté naturelle de la Papouasie est déjà célèbre à l'étranger. Explorer et profiter la de beauté Papouasie est sans égal, parce que là, on va trouver une beauté naturelle renversante. Non seulement la beauté de la côte, les zones montagneuses de la Papouasie a également beuacoup d’attractions touristiques, entre autre est le lac Tigi, qui se trouve juste au pied du montagne Deiyai.
Le lac Tigi est situé dans le district de Digiyai et le district de Deiyai, à 1700 mètres d'altitude. La profondeur de ce lac est jusqu'à 150 mètres. Comme il est dans les hautes terres, donc, l'air autour de le lac Tigi est très froid.
Le lac Tigi est une très belle attraction naturelle, avec l'eau de lac bleu qui est vraiment clair et le paysage magnifique au pied du montagne Deiyai. Voilà la petite description de la beauté du lac Tigi qui est génial.
Complètement, au milieu du lac se trouve l'île de Duamo. Beaucoup de touristes nationaux et étrangers la visitent. Au coucher du soleil, ce lac exotique devient plus beau. Les bateaux de pêche se sont arrêtés, les petits oiseaux qui ont volé bas et ont parfois attrapé l'eau, rendant la vue du lac au soir plus belle.
En plus de profiter du paysage, les touristes peuvent également pêcher ou louer un bateau appartient à la population pour entourer le lac. Si vous voyagez là-bas, il semble incomplet si vous n'avez pas visité le village de la tribu de Mee et la tribu de Moni, deux grandes tribus qui vivent dans les montagnes de Paniai autour du lac Tigi. Là, vous pouvez voir la maison traditionnelle de Papouasie, Honai, et la vie quotidienne de la population. De plus, vous pourrez également voir les attractions artistiques et obtenir les souvenirs typiques de ces deux tribus.
Dans la région du lac Tigi, il existe diverses installations, telles que le poste de garde, la guide touristique, le chalet, la location de bateaux, lalocation d'équipement de pêche, et les petites échoppes. Si vous voulez rester là, vous pouvez louer des maisons situées autour du lac ou camper dans divers endroits de la région.
Tandis que, si vous voulez obtenir un hébergement complet, Vous devez aller à la ville d'Enarotali (la capitale du district de Paniai), parce qu'il y a des magasins, des marchés, des restaurants, des maisons de culte, ainsi que des hôtels et des de différents types.
De la ville d'Enarotali, l'accès au lac Tigi est très facile. Vous pouvez prendre le bus pour traverser des routes qui sont escarpées et sinueuses. Vous pouvez également prendre l’avion de type Cessna qui peut atterrir dans les hautes terres. Mais, le coût de l’utilisation d’avion est plus élevé que l'utilisation de bus.
May
La plage de Sayang Heulang se trouve au village Mancagahar, sous-district Pameungpeuk, régence Garut, Java Ouest. Cette plage a un littoral le long des 2 km, et parce qu'elle borde directement avec l'océan Indien, les vagues sur cette plage est assez grande lorsque l'eau de mer est marée, dangereuse pour la baignade. La distance du centre-ville Garut à la plage Sayang Heulang est environ 87 Km, de la ville Pameungpeuk c’est seulement environ 4 km. La plage Sayang Heulang est l'une des plages les plus célèbres en régence Garut.
La plage qui s'étend directement dans l'océan Indien présente un très beau paysage et sa nature est encore éveillée. Ici les visiteurs peuvent profiter de la beauté de la nature et les grandes vagues. La plage a aussi du sable fin qui est blanc brunâtre avec des eaux turquoise et est également entouré d'arbres le long de la côte. Lorsque l'eau de mer se retire, les visiteurs peuvent jouer de l'eau sur la plage tout en attrapant des poissons d'ornement emprisonnés à l'écart du récif.
Cette plage a des vagues stables et disposes de deux types de plages, le rivage et les plages qui ne sont pas rocheuses. Une fois que vous êtes satisfait de profiter de la beauté des paysages et jeux d'eau, lorsque l'estomac se sent affamé, vous pouvez profiter d'une variété de fruits de mer frais et de la glace de noix de coco qui est vendu dans les étals autour de la plage Sayang Heulang.
Les plus attendus par les touristes sur cette plage est quand le soleil se lève et quand le soleil se couche. Par conséquent, autour de la plage, il y a beaucoup d'auberges avec des taux allant de Rp. 150.000 jusqu'à Rp. 300.000 par nuit selon la taille de la chambre et les installations.
Pour ceux d'entre vous qui aiment l'aventure et qui veulent se sentir plus proche de la nature, il y a également un camping. Tout en ressentant la sensation du camping, vous pouvez profiter des vues des pêcheurs qui recherchent du poisson dans la mer. Pour ceux d'entre vous qui ont un passe-temps de pêche, il y a l’installation de pêche sur cette plage.
Si vous voulez vraiment vous détendre, il est conseillé de visiter la plage Sayang Heulang du lundi au vendredi, parce que le week-end et les vacances, cet endroit sera bondé de visiteurs. L'accès à la plage Sayang Heulang est également très facile, surtout lorsque vous partez du centre-ville Garut. Vous pouvez utiliser le transport public depuis le terminal Garut avec le trajet Garut-Pameungpeuk.
L'itinéraire est terminal Garut-Cikajang-Plage Sayang Heulang. Si vous êtes arrivé à Pameungpeuk, la distance vers cette plage n'est qu’encore 4 Km. Comme le marqueur que vous êtes arrivé à la plage Sayang Heulang, vous verrez la porte et la statue de l'aigle. Sayang Heulang en sundanais signifie nid d'aigle. Le prix d'entrée à la plage est 5.000 Rupiah.
May
Peresean, la danse du peuple Sasak, Lombok, Nusa Tenggara Ouest
Written by Kartika
Pour les hommes de Sasak, prouver leur courage et leur endurance consiste à effectuer une danse Peresean. Deux personnes frappent les uns les autres pour prouver qui est le plus viril d'entre eux.
Peresean est la danse de Lombok. Cette danse était auparavant faite par les hommes de la tribu Sasak Ende pour pratiquer la dextérité dans les batailles en utilisant des cannes en rotin (appelées penjalin) et des boucliers de peau de buffle épais et durs (boucliers appelés ende).
Cette tradition a été faite depuis longtemps par les hommes de la tribu Sasak. Depuis le 13ème siècle. Ils seront considérés comme des hommes courageux s'ils gagnent le combat péreséen. Les combattants en péresean appelé pepadu et les arbitres appelés pakembar. La danse de paresean doit être effectuée par des hommes Sasak qui sont assez vieux. Pepadu a été choisi par Pakembar parmi la foule des spectateurs.
La danse péreséenne est accompagnée de musique typique de Lombok. Les instruments de musique utilisés sont généralement le gong, une paire de tambours, le rincik, les cymbales, la flûte et le kanjar.
En Peresean, Pepadu n'utilise aucun équipement de protection, à l'exception d'un bouclier qui fait partie de l'arme. Le Pepadu n'utilise que des pantalons, le tissu de couverture du pantalon, et un tissu attaché à la tête. ils ne portent pas de vêtements. Pepadu est équipé d'armes, telles qu'un bouclier et un bâton de rotin pour se battre.
Dans les spectacles, Peresean a généralement tenu dans un endroit assez grand, de sorte que l'espace des combattants n'est pas étroit et le public peut également regarder. Le combat se déroule généralement en cinq rounds d'une durée de trois minutes par rounds. Avant le début du jeu, Pepadu recevra des instructions et des prières. Après cela, l'arbitre va frapper l'ende avec le rotin comme un signe de la lutte commence.
Dans Pereseanil y a quelques règles, entre autres Pepadu ne devrait pas frapper le bas du corps comme les cuisses ou les jambes, mais Pepadu est autorisé à frapper le haut comme la tête, les épaules ou le dos. Chaque coup a sa propre valeur, et le gagnant de ce Peresean est généralement déterminé à partir de la valeur gagnée par rounds. En outre, le Pepadu est déclaré vaincu quand il est rendu ou saignant.
Après le combat péreséen, le pepadu a embrassé avec son adversaire. Cela indique que le combat est terminé et aucune rancune à l'extérieur de l'arène.
Cet art continue à être conservé à Lombok, Nusa Tenggara Ouest. En plus d'être organisé dans le cadre de la tradition, Peresean est également souvent tenu pour accueillir les invités et les touristes qui y viennent. Ceci est fait pour présenter et pour introduire au grand public les arts de l'île de Lombok, en particulier le peuple Sasak.
May
La cascade Kiti-kiti est une destination touristique qui se trouve à Fak Fak, en province Papoua Ouest, l’Indonésie Est. Cette cascade a un nom un peu unique et donne la sensation d'un tourisme extraordinaire. D’habitude, la cascade coule vers un cratère en dessous, comme vous le voyez dans la cascade Tongkat Medan, à Sumatra Nord. Mais à Fak Fak, vous trouverez une chute d'eau qui coule directement dans la mer ouverte. Cette cascade est légèrement similaire à la plage Jargon à Yogyakarta.
Dans la zone de cette cascade, vous pouvez profiter de deux sites touristiques à la fois, à savoir la plage et la cascade. Autour des sites touristiques se trouvent une vue panoramique sur les montagnes, les forêts de pluie tropicales et les plages aux eaux cristallines et bleues. Si l'eau recule, elle forme une plage sous la cascade. Et si l'eau est marée, la cascade continue à couler sans aucune limitation. Alors assurez-vous que l'eau de mer recule lorsque vous visitez ce site, de sorte que vous pouvez profiter de deux attractions à la fois.
Cette cascade offre également la beauté de l'eau sous-marine très belle, avec de beaux récifs coralliens et divers types de poissons colorés. Si vous avez un passe-temps de pêche, alors cet endroit est connu comme un paradis de gens qui ont un passe-temps de pêche. En outre, vous pouvez également faire d'autres activités telles que le camping, la plongée et la plongée en apnée pour profiter de la beauté sous-marine.
La cascade Kiti-kiti n’a pas seulement la beauté de l'eau sous-marine, mais les nuances de forêts hétérogènes gâteront aussi les yeux. Pour atteindre la cascade Kiti-kiti, depuis le port Fak Fak, vous pouvez prendre un bateau rapide ou un long bateau pour environ 3 ou 4 heures de trajet.
Le coût de location de bateau rapide du port Fak Fak est assez cher. Vous devez dépenser 3,5 millions Rupiah. Ce prix de location est proportionnel à la beauté et à la sensation offerte. Pour les touristes domestiques ou étrangers qui ont un passe-temps de pêche, s'il vous plaît visitez la cascade Kiti-kiti, mais n'oubliez pas de garder propre et ne pas endommager l'environnement afin que la nature reste belle.
May
La tradition de Nyangku au village de Panjalu, Java Ouest
Written by maysaroh
La cérémonie traditionnelle Nyangku est une tradition qui existe depuis le Royaume de Panjalu. Jusqu'à présent, la tradition est toujours menée chaque année par les gens de Panjalu. La tradition Nyangku est réalisée lundi ou jeudi du mois de Maulud (Rabiul Awal) dans un calendrier islamique. Le but est de commémorer la naissance du Prophète Muhammad S.A.W qui tombe sur le mois de Rabiul Awal. Par ailleurs, la tradition Nyangku est menée pour commémorer le service de Prabu Sanghyang Borosngora, le roi de Panjalu qui était un disciple et répandre les enseignements de l'Islam à Panjalu
Nyangku vient de la langue arabe, «Yanko» signifie nettoyer. Mais, les Sundanais prononcent le mot «Yanko» en devenant «Nyangku». Le but de la tradition est de nettoyer les objets patrimoniaux qui appartenaient au royaume de Panjalu.
Dans le passé, la famille de la descendance de Panjalu a fourni des ingrédients pour la cérémonie de Nyangku, comme le riz rouge qui doit être épluché à la main. Le riz rouge a été utilisé comme ingrédient pour faire du Tumpeng et des offrandes. Tumpeng est un plat de riz en forme de cône avec des plats supplémentaires de légumes et de viande. Pour éplucher le riz rouge non décortiqué a été commencé depuis le 1er Maulud jusqu'à un jour avant la mise en œuvre de la cérémonie.
le rituel Nyangku est débuté en faisant un pèlerinage au cimetière du roi à Situ Lengkong, Panjalu. La cérémonie commence habituellement à 07h30 heure locale en sortant les objets patrimoniaux de l'endroit, nommés Bumi Alit. Ensuite, les objets patrimoniaux sont transportés en étant tenu par la descente du roi de Panjalu à Nusa Gede. En arrivant à Situ Lengkong, les porteurs des objets patrimoniaux qui portent des vêtements Moeslim et Sundanese, traversent en bateau vers Nusa Larang. Ensuite, les objets patrimoniaux sont paradés dans un petit bâtiment à Nusa Larang.
Les porteurs des objets patrimoniaux sont accompagnés de rythmes de tambourins et de shalawat ou de prières sur la scène principale où la cérémonie est tenue pour nettoyer les objets patrimoniaux. Ainsi, les objets patrimoniaux sont mis sur un matelas spécial. Et un par un, les objets patrimoniaux commencent à être ouverts à partir de son emballage. Ensuite, ils sont nettoyés immédiatement en utilisant l'eau de 7 sources d’eau et ajoutés avec de l'eau de chaux. Laver les objets patrimoniaux commence à partir de l’épée de Prabu Sanghyang Borosngora. Après cela, il se poursuit avec les autres objets patrimoniaux. Après être lavé, ces objets héritage sont enduits d'huile de noix de coco spéciale. Et puis, ils sont enveloppés à nouveau avec de jeunes feuilles de cocotier et enveloppés à nouveau avec 7 couches de tissus blancs et attachés avec du fil. Ensuite, ils sont séchés en utilisant de la fumée d'encens et en étant défilé pour être stocké à nouveau chez Pasucian Bumi Alit
May
Bapongka, la tradition de la pêche maritime de tribu Bajo qui apprécie la nature
Written by Erna Geni
Bajo est une ethnique inséparable de la mer. Le modèle de logement de la communauté Bajo est très unique. Sa maison était principalement sur l'eau. Même, au passé elle résidait dans des bateaux ou Lepa. Maintenant, les Bajo se sont répandus dans tout l'archipel, notamment à Sulawesi. Il y a une tradition de pêche qu'ils font habituellement, ce qui les oblige à parcourir de longues distances, c’est la tradition Bapongka. Bapongka est une tradition de la société Bajo qui utilise un équipement traditionnel et protège l'environnement marin des dommages.
Bapongka est naviguer pour vivre dans une autre zone, pendant plusieurs semaines et même plusieurs mois. Ils sont partis en mer en groupe. Chaque groupe se compose de trois à cinq bateaux, chaque bateau a une personne. La formation de petits groupes de bapongka est plus souvent basée sur la proximité. Habituellement, le petit groupe se réunira avec d'autres petits groupes dans un lieu de pêche et éventuellement former un grand groupe qui peut atteindre 15 ou même 20 bateaux.
Les bateaux traditionnels qu'ils utilisent sont appelés lepa, qui dispose d'un outrigger et d'un toit en feuilles de sagou. Généralement, les bateaux sont équipés de rames, bien qu'aujourd'hui il y ait plusieurs bateaux équipés d'une machine de katinting. Au moment de bapongka, ils apportaient beaucoup de nourriture comme le sagou et les accessoires, comme des lampes à pétrole, des récipients d'eau, des ustensiles de cuisine, l’équipement de couchage, et des accessoires pour les holothuries et autres produits marins.
Bapongka a un bon impact sur la conservation marine, en particulier les récifs coralliens, car il n'utilise que des équipements simples. Dans la tradition Bapongka, il y a des tabous auxquels l’ethnie Bajo doit obéir. On pense que l'abstinence pour les Bajo affecte les prises, par exemple pour ne pas jeter quelque chose en mer en faisant Bapongka.
Pendant Bapongka, il est interditde jeter de l'eau de lavage de riz, du charbon de bois, du marc de café, de l'eau de chili, de l'eau de gingembre, de l'écorce d'orange, des cendres de cuisine dans la mer. Au moment du lavage du riz, l'eau a été lavée dans le bateau et sera jetée après avoir approché le continent. De même avec le charbon de bois utilisé, le cendre de la cuisine, la peau d'orange, l'eau de piment et l'eau de gingembre.
L'abstinence à faire ne doit pas être violée, car on pense qu’il y aura un désastre parce qu'on croit qu'il y a des dirigeants de la mer sous la forme d'esprit, nommé Mbo. Ces choses font que la tradition Bapongka apprécie hautement et préserve la nature, comme une sagesse locale de la société Bajo.
May
Madiun, une ville en province Java Est, en Indonésie, est située à 160 km à l'ouest de Surabaya. En plus d'être connue comme la ville du centre de l'industrie ferroviaire, Madiun est aussi une région riche en histoire et riche en culture. L'un des célèbres arts de Madiun est l’art Dongkrek.
Dongkrek est un mélange d'art musical et de mouvement de danse original de Madiun. L’art Dongkrek est né en 1867 dans le sous-district Caruban qui à cette époque changea de nom pour sous-district Mejayan, en régence Madiun. En 1910, Dongkrek fut popularisé par Raden Bei Lo Prawirodipuro qui était à l'époque un chef de village qui supervisa cinq villages en région Caruban. Selon l'histoire, vers 1879, les habitants du village Mejayan ont été frappés par une épidémie mortelle. Souffert de maladie pendant la journée et dans l'après-midi est mort, ou malade le matin et le soir est mort. Dans sa tristesse, Raden Prawirodipuro médite dans la région montagneuse Kidul, à Caruban. Il obtient alors wangsit soit message occulte pour créer une sorte de danse d'art qui est capable de repousser les renforts.
Le message obtenu représente que les courtisans du royaume des esprits peuvent seulement être expulsés par les résidents de Mejayan en les chassant du village. Pour cette raison, il y a une sorte d'art qui décrit l'expulsion de l'esprit. Cette tradition est devenue plus tard le caractère culturel de la société Caruban en tant que Dongkrek, un art qui contenait le message que toute intention malveillante serait finalement vaincue par la bonté et la vérité. La société à cette époque a entendu de la musique de l'art dongkrek sous la forme de sons dung du tambour et krek des instruments de musique appelés korek. Du son de dung et de krek vint le nom de l'art Dongkrek. L’outil korek sous la forme de bois en forme de carré avec une extrémité, il y a une poignée en bois dentelée qui, quand on glisse sonnait krek.
Dans son développement, on a également utilisé d'autres instruments de musique tels que gong, kenung, kentongan, kendang et gong berry comme un mélange de la culture islamique, de la culture chinoise et de la culture javanaise en général. En plus des instruments de musique, qui doivent exister dans l’art Dongkrek sont le masque mbah Palang qui symbolise les parents, le masque putri représentant la princesse Roro Ayu et le masque gendruwo ou démons et géant.
Le mélange harmonieux entre la danse et la musique est absolu dans cet art, car le début et la fin du mouvement de danse sont marqués par le rythme de kendang. Le batteur doit pouvoir s'adapter à la position du danseur. Inversement, les danseurs doivent aussi faire attention au signe et au rythme donnés par le joueur de kendang. L'élément le plus important dans l'histoire et les figures de Dongkrek ont une signification plus profonde.
La figure gigantesque a cependant une nature mauvaise mais peut être invitée à s'unir pour faire le bien. Cette orientation est une leçon que, aussi n'importe quelle mauvaise l’humain, il doit être bon en lui. L'art Dongkrek enseigne qu'un leader, dans la situation difficile, ne devrait pas quitter le peuple, mais lutter avec le peuple d’envisager la détresse. Pour préserver l’art Dongkrek, le Bureau d'éducation et de culture de Madiun organise annuellement des festivals Dongkrek en dehors de la ville Madiun, même Dongkrek a été présenté également au palais d'état.
